Julien Coupat et les aventuriers de « L’insurrection qui vient »

Mise à jour du jeudi 12 avril 2018 : Comme on pouvait s’y attendre, faute de preuves, Julien Coupat et sa compagne ont été relaxés. Le mystère des sabotages de TGV reste entier.

On les avait complètement oubliés et l’affaire semblait définitivement classée ou enterrée ou abandonnée. Mais non, les militants d’extrême-gauche du groupe de Tarnac sont revenus cette semaine en Une de nos journaux car huit d’entre eux, dont leur chef Julien Coupat, comparaissent depuis mardi 13 mars 2018 devant le tribunal correctionnel de Paris pour « association de malfaiteurs » après le sabotage de lignes de TGV en novembre 2008.  Lire la suite