Le cas de la Baraque à Frites

Je regroupe ici les épisodes de « La Baraque à Frites », petite série qui pourrait s’appeler également « Corporate finance expliquée à ma fille. »

Le cas de la « Baraque à frites » se propose d’expliquer le fonctionnement économique d’une entreprise à travers des situations simples mais représentatives, présentées à partir du bilan, du compte de résultat et du tableau des flux financiers. Il s’appuie sur la vie d’une entreprise fictive, la Baraque à frites d’Arnaud Montebourg,

Il a pour objectif de montrer qu’au début il n’y avait rien. Que c’est par la volonté, les idées et les risques pris par une personne (ou un groupe de personnes) sur ses biens personnels et/ou en s’endettant qu’il y a eu une création de valeur ajoutée sous forme d’un produit ou d’un service. Qu’il s’agit bien de création de valeur puisqu’à un moment donné quelqu’un a été d’accord de payer un certain prix pour s’approprier le produit ou le service.

En octobre 2016, la situation précaire de la Deutsche Bank, énorme établissement bancaire allemand porteur d’un risque systémique, m’a incitée à ajouter une série d’articles sur le cas spécifique des banques.

Cliquer sur le titre en vert ou sur la photo pour accéder à l’article voulu. Chaque nouvelle situation s’appuyant sur la précédente, il est préférable de lire les articles dans l’ordre :

IMG_6500La Baraque à Frites (I) Bilan / Résultat / BFR

IMG_6500La Baraque à Frites (II) EBITDA / EBIT / RN

IMG_6500La Baraque à Frites (III) Processus d’acquisition

IMG_6500La Baraque à Frites (IV) Gestion des risques

banques-baf-5La Baraque à Frites (V) Cas des banques


1. Comment peut-on être banquier ? (1)
 A quoi ressemble une banque ?
2. Comment peut-on être banquier ? (2) Dérivés, risque systémique
3. Comment peut-on être banquier ? (3) Régulation bancaire