Nuñez, préfet de police de Paris : le changement qui ne change rien

Après la nomination de Laurent Nuñez à la tête de la préfecture de police de Paris (PPP) en remplacement du charmant Didier Lallement, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin faisait de son mieux pour assurer le service après-vente avec le sourire dans un grand entretien accordé hier au Parisien. De son mieux et avec le sourire, car si l’on en croit le magazine L’Express, Nuñez n’est nullement son choix, mais celui imposé par Emmanuel Macron, soucieux d’avoir une bouche, des yeux et des oreilles d’une grande fidélité macroniste dans la capitale. Lire la suite

POLICE : et si Emmanuel Macron se mettait enfin à PENSER RÉGALIEN ?

Pris en tenaille entre, d’un côté, la dénonciation récurrente des violences policières et l’opposition au projet de loi de Sécurité globale qui limite en son article 24 la possibilité de filmer la police en action, et de l’autre, le ras-le-bol de forces de l’ordre épuisées et dégoûtées d’être trop régulièrement la cible de violences, Emmanuel Macron a lancé un vaste Beauvau de la Sécurité dans l’espoir « d’améliorer les conditions d’exercice » de la police tout en consolidant le « lien de confiance entre les Français et les forces de l’ordre. » Lire la suite

La haine du DON, cette autre forme de la haine de la LIBERTÉ

Et c’est reparti pour un tour !

« Commence par rendre l’ISF », s’exclame Gérard Filoche sur Twitter en direction du ministre du budget Gérald Darmanin. « L’appel aux dons, quelle honte ! » s’insurgent des soignants chez Mediapart. « Trop, c’est trop, la solidarité nationale, c’est l’impôt », tempête de son côté le secrétaire national d’EELV Julien Bayou. Lire la suite

Au gouvernement, tout le monde il est « cou-ra-geux » ! 😉

C’était la grosse déprime, au gouvernement, depuis l’été. Benalla, Hulot, Collomb, remaniement sous pression, mauvaises nouvelles sur la croissance et le chômage, grogne des automobilistes – difficile de passer à côté du spectaculaire syndrome d’effondrement du macronisme qui s’est abattu d’un seul coup d’un seul sur notre exécutif. Et ce n’était certainement pas la lugubre intervention télévisée donnée il y a quinze jours par un Emmanuel Macron décidément bien fatigué qui pouvait inverser la tendance. Lire la suite