Quand les temps sont moroses, quand les perspectives semblent sombres, rien de tel qu’un peu de distraction sans prétention pour se changer les idées et rire un peu. En France, alors que les prix de l’énergie s’envolent et que la guerre en Ukraine nous désole, on réalise une fois de plus avec effroi qu’on n’a pas de pétrole et beaucoup trop d’impôts. Mais par chance, nous avons François Hollande pour nous dérider ! Lire la suite
#FH
François Hollande pique sa crise de SÉGOLÉNISATION aggravée !
Question pas si subsidiaire que ça : mais où est donc passé le Parti socialiste ?
Suspense intenable ! François Hollande va-t-il bientôt nous annoncer sa candidature présidentielle ? Des propos habilement équivoques tenus récemment par l’ancien chef de l’État devant des lycéens relancent la machine à spéculation politico-médiatique : “pour l’instant”, il n’est pas candidat. Mais comme “ça ne va pas bien” – sous-entendu, à gauche, vous l’aurez immédiatement compris – forcément, il s’interroge : Lire la suite
Taxe à 3 % sur les dividendes : Derrière le fiasco, la débâcle morale de l’État
Le gouvernement avait à peine achevé la présentation de son projet de loi de finances pour 2018 que le Conseil constitutionnel, en invalidant totalement la taxe à 3 % sur les dividendes le 6 octobre dernier, venait porter un coup sévère, un coup à 10 milliards d’euros, à la périlleuse trajectoire de retour à l’équilibre qu’il avait réussi à imprimer – sur le papier – à nos comptes publics à l’horizon 2022. Lire la suite
Hollande et le risque des extrêmes : de qui se moque-t-il ?
Comme un peu toute la France, qui ne parle plus que de cela depuis une bonne semaine, il semblerait que François Hollande ait vu surgir des sondages un risque politique majeur : et si on avait un second tour Mélenchon Le Pen ? Et si, dimanche soir prochain, il ne restait plus d’autre choix aux Français que les extrêmes ? Il ne sera pas dit que François, presque pape en l’occasion, ne mettra pas tout son poids moral, toute sa personnalité irréprochable, toute sa force de conviction et toute l’excellence de son fantastique bilan dans la balance du débat électoral pour alerter les Français et leur éviter pareil désastre. Lire la suite
François Hollande, 1er touriste de France !
On a bien ri la semaine dernière lorsqu’on a appris que le fantomatique ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux, démissionnaire pour une petite histoire ordinaire d’emplois fictifs, était remplacé par le ministre du Tourisme alors que l’État d’urgence est théoriquement toujours actif : Lire la suite
Socialie en Folie
Mise à jour du jeudi 30 mars 2017 : Sèchement battu lors de la primaire de gauche par Benoît Hamon, Valls a décidé (comme François de Rugy avant lui) de rompre l’engagement de soutenir le vainqueur. Après avoir refusé de parrainer le candidat officiel du PS, il a annoncé hier qu’il voterait Macron au premier tour de la présidentielle pour battre le FN.
Hamon, tombé à 10 % dans les sondages et dépassé par Mélenchon qui atteint les 14 %, a appelé une nouvelle fois au rassemblement de la gauche autour de sa candidature, ce que Mélenchon a, une nouvelle fois, refusé, malgré de l’agitation en ce sens, y compris au PC.
Septimana vraiment horribilis pour le Parti socialiste. Dimanche 19, Cambadélis, celui qui retombe toujours sur ses pattes, se fait siffler au meeting de Hamon à Bercy. Lundi 20, c’est Hamon qui sort perdant de chez perdant du premier grand débat de la présidentielle. Mardi 21, Barbara Pompili se rit ouvertement des consignes édictées la veille par le Premier ministre et officialise son ralliement à Macron. Lire la suite
Conciliabules des ministres du mercredi 15 mars 2017
La scène se passe vers 9 h 15 le mercredi 15 mars 2017 au Palais de l’Elysée dans le bureau du Président de la République. Oui, ce matin, mais ceci est une fiction, donc toute ressemblance etc… serait fortuite.
Le Conseil des ministres doit avoir lieu à 10 h dans le salon Murat. (Ça, c’est vrai, c’est à l’agenda du Président). Lire la suite
2016, année ratée. Remettons de la liberté dans nos rouages !
L’année 2016 s’achève. Il y a un an jour pour jour, j’écrivais : “L’année 2015 tire à sa fin.” Par cette formulation empreinte de lassitude, je voulais signifier combien on pouvait avoir hâte de fermer la page de cette année funèbre, marquée au plus haut point par la sanguinaire violence du projet totalitaire islamiste particulièrement construit contre toute forme de liberté. Je formais alors le voeu qu’on en sorte personnellement et collectivement grandis et éclairés plutôt que conformes, qu’on y puise le sursaut nécessaire pour aller chercher et protéger la valeur cardinale de l’occident des Lumières, la liberté. Lire la suite
Et les nominés pour la primaire de gauche sont … passés de 9 à 7 !
Mise à jour du samedi 17 décembre 2016 : La “short list” des 9 “candidatures sérieuses” à la primaire de gauche a été raccourcie à 7 par la Haute autorité qui n’a pas jugé recevables celles de Gérard Filoche et Fabien Verdier par manque des parrainages nécessaires. C’est dommage. Sans Filoche, les débats s’annoncent moins divertissants. Socialiste passionné, grande gueule toujours en train de livrer bataille contre les patrons esclavagistes et la droite forcément fasciste, il s’est trouvé une nouvelle tête de turc en la personne de Manuel Valls, social-traître initiateur de “l’ignominieuse” loi Travail.
Ils seront donc (MAJ : peut-être) neuf, si la Haute autorité de la primaire de gauche valide leur participation d’ici demain samedi 17 décembre 2016, après contrôle des parrainages et des cotisations des candidats PS.
Elle a en effet annoncé hier soir avoir reçu neuf candidatures “sérieuses” : Gérard Filoche, Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, François de Rugy et Jean-Luc Bennahmias (écologistes proches de Hollande), Sylvia Pinel (ex-ministre du logement, Présidente du PRG, et, il faut bien le dire, caution féminine de cette primaire après le retrait de Marie-Noëlle Lienemann), Manuel Valls et Vincent Peillon. Plus un inconnu : Fabien Verdier, conseiller municipal PS à Châteaudun. Lire la suite
Manuel Valls : com’, ambition et coups de menton
Les mises à jour sont en fin d’article.
Valls y va. Il nous l’a annoncé officiellement lundi 5 décembre 2016 après une séquence complexe du style “je t’aime, moi non plus” avec François Hollande qui venait pour sa part d’annoncer aux Français qu’il renonçait à briguer un second mandat. Autant le Président de la République nous a aimablement fourni une ultime occasion de le comparer à un ectoplasme sévèrement déprimé, autant Manuel Valls s’est livré avec délectation à son célèbre jeu de mandibules en martelant force, volonté, inflexibilité et révolte dans les termes de sa déclaration. Lire la suite