“J’exécrerais évidemment l’avènement d’une dictature, mais si on continue à dire que chacun peut faire ce qu’il veut, on oublie le commun.” (Aurélien Barrau, Le Point, 17 juin 2019)
Ah, ce “mais” d’Aurélien Barrau, notre nouvelle star hexagonale du catastrophisme écologique, que ne révèle-t-il pas ! Car si cette phrase signifie quelque chose, c’est qu’il existerait des circonstances – gravissimes, bien sûr, et jamais vues depuis la nuit des temps, naturellement – qui pourraient justifier l’avènement d’une dictature. Transformez la préoccupation légitime pour l’environnement en guerre totale, lancez “un appel face à la fin du monde”, touchez le cœur sensible de Juliette Binoche et le tour est joué ! Lire la suite