Dans sa lettre adressée la semaine dernière aux Européens en vue des élections européennes du 26 mai prochain, Emmanuel Macron donne une définition du projet européen d’origine à laquelle j’adhère volontiers :
“La réconciliation d’un continent dévasté, dans un projet inédit de paix, de prospérité et de liberté.”
Paix, prospérité, liberté : je partage cette ambition ; mais après lecture complète de l’épître présidentielle, mon partage s’arrête là. Lire la suite