J’ignore tout des convictions politiques de l’architecte chilien Alejandro Aravena, mais quand on m’a parlé de ses projets de logements sociaux qui consistent à construire des “demi-maisons” afin de laisser les familles poursuivre elles-mêmes les travaux en fonction de leurs goûts et au rythme de leurs possibilités financières, j’ai eu l’impression que je tenais peut-être là un bon client pour ma rubrique “Les Lib’Héros du quotidien”. Lire la suite