Quand les DÉGAGÉS de l’ancien monde rêvent tout haut de 2022

Les nouveautés de septembre 2020 : Offensive Sarkozy, en cette rentrée 2020. François Baroin, dûment massé en ce sens, n’est plus sur la ligne de départ de la droite et Brice Hortefeux, l’ami de toujours, s’emploie à savonner la planche de Xavier Bertrand. Bref, les dégagés de l’ancien monde rêvent tout haut de 2022 [REPLAY] :

François Hollande en est convaincu, la victoire présidentielle d’Emmanuel Macron en 2017 ne doit rien au « nouveau monde » à base de « ni droite ni gauche » qu’il promettait aux Français mais tout au refus de ces derniers de voir arriver l’extrême droite à l’Élysée. Et ce d’autant plus que l’élection s’est déroulée dans un « contexte particulier » où lui, Hollande, ne se représentait pas et où le candidat de la droite était affaibli par l’affaire des emplois fictifs de sa femme. Lire la suite

« Nouveau monde » macronien : Ne cherchez plus, il n’existe pas !

À peine avais-je refermé mon ordinateur sur la constatation désabusée que le budget 2020 signait le retour accéléré d’Emmanuel Macron dans « l’Ancien monde » dont il prétendait extraire la France avec une ardeur toute « printanière » et l’audace du jeune loup qui défie ses aînés, que l’actualité s’ingéniait à confirmer ce sentiment. On apprenait en effet que le Président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand n’avait nullement l’intention de démissionner suite à sa mise en examen pour prise illégale d’intérêts dans l’affaire des Mutuelles de Bretagne. Lire la suite

2020 ou l’année budgétaire qui hollandise Macron définitivement

RETOUR vers l’ANCIEN MONDE pour Emmanuel Macron. Rien ne peut le dire plus clairement qu’un budget et celui qui se profile pour 2020 nous enferre inéluctablement dans la spirale « dépenses impôts dette » si caractéristique de l’exception française !

Le projet de loi de finances (PLF) pour l’année 2020 sera présenté en Conseil des Ministres le 27 septembre prochain. J’aurai l’occasion d’en reparler lorsqu’il sera officiellement dévoilé (ici), mais ce ne sera jamais que pour préciser des chiffres dont on sait déjà qu’ils consistent à enterrer définitivement tous les engagements de campagne du candidat Macron qui auraient pu avoir un effet structurel appréciable alors que la conjoncture économique mondiale s’annonce morose. Lire la suite