C’est ironique. Depuis vendredi 18 octobre dernier, le Chili est en proie aux émeutes et à la violence(*) pour dénoncer 30 ans d’ultra-libéralisme forcené, mais c’est la hausse annoncée – et annulée le lendemain – d’un prix géré administrativement par un service public, celui du ticket de métro à Santiago aux heures de pointe de 800 à 830 pesos (soit une augmentation équivalente à 4 centimes d’euro), qui a mis le feu aux poudres. Lire la suite