McDo marseillais : la FOLLE saga continue de plus belle !

Cet article est la suite inopinée de “McDonald’s et les NUISANCES du syndicalisme à la française” écrit en mai 2019.
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“Le Président a dit que c’était la guerre ? Et en temps de guerre, on réquisitionne. Il s’agit donc d’une réquisition citoyenne !”

Ainsi s’exprimait en début de crise sanitaire l’un des initiateurs du projet de plateforme solidaire “l’Après M” installé en toute illégalité dans les locaux de l’ex-McDonald’s de Saint-Barthélémy dans les quartiers Nord de Marseille. Lire la suite

McDonald’s et les NUISANCES du syndicalisme à la française

Idéologiquement opposé à la libre entreprise, le syndicalisme d’extrême-gauche à la française, loin d’assurer la défense des salariés, constitue en fait une obstruction permanente à la liberté d’entreprendre conjuguée à des stratégies personnelles pour abuser des statuts protégés garantis par notre code du travail.

Il y a quelques mois, je vous racontais comment, de FO à la confédération paysanne de José Bové sans oublier Jean-Luc Mélenchon, toute la planète anti-capitaliste habituellement prompte à vilipender le géant américain du fast-food s’était mobilisée pour “sauver” un restaurant McDonald’s de Marseille en grande difficulté que son propriétaire voulait céder à un repreneur. Or l’histoire rebondit ces jours-ci et confirme amplement que les chefs d’entreprise pris à la gorge par une bonne intersyndicale bien politisée n’ont qu’une idée en tête : se débarrasser des éléments les plus jusqu’au-boutistes pour sauver leur entreprise. Lire la suite

Chez McDo, le plus indigeste, et de loin, ce sont les syndicats !

Une histoire vraie et navrante sur le pouvoir de nuisance du syndicalisme à la française. 

Drame absolu dans les quartiers Nord de Marseille ! Pas une nouvelle fusillade, événement somme toute banal, mais un McDo bien mal en point qui risque de disparaître. Curieusement, de la CGT à Mélenchon et de SUD à la Confédération paysanne de José Bové, toute la planète écolo, anti-capitaliste et alter-mondialiste habituellement prompte à vilipender le géant américain du fast-food, quitte à vandaliser ses enseignes à l’occasion, se mobilise pour “sauver” le restaurant. Ce n’est pas le moindre paradoxe de cette affaire qui montre aussi avec beaucoup d’éclat que rien ne vaut une bonne intersyndicale bien politisée pour étouffer une entreprise. Lire la suite