Les élections municipales 2020 sonneraient-elles la fin du “en même temps ni de droite ni de gauche” sur lequel Emmanuel Macron avait fondé toute sa stratégie d’accession au pouvoir et signifieraient-elles une repolitisation à droite concernant aussi bien l’électorat en général que le parti présidentiel ?
À voir les résultats du premier tour du 15 mars qui font la part belle à la droite classique, et à voir les alliances ponctuelles qui se sont formées récemment entre La République en Marche (LREM) et Les Républicains (LR) en vue du second tour du 28 juin prochain – à Lyon, Bordeaux, Tours et Strasbourg notamment – on pourrait facilement le croire. Lire la suite