Le « Cahier des Doléances » du Blog de Nathalie MP est ouvert !

INFO du lundi 25 février 2019 : Comme prévu, le Cahier des Doléances ouvert dans ce blog est fermé depuis le 21 février 2019. Après impression des 106 contributions fléchées D (pour doléance), il représente un document de 54 pages que j’ai expédié ce jour par LRAR à l’adresse postale du Grand débat.

                


Hier, j’ai reçu le mail ci-dessous – et cela m’a donné une idée : Pourquoi ne pas ouvrir un « Cahier de Doléances » ici-même ?

« Bonjour, Désolé de vous importuner, mais je suis tombé sur votre blog en recherchant sur Google un moyen de faire part de mes doléances car dans ma communes et celles environnantes il n’y a rien. Je pensais les faire par internet mais je n’ai trouvé aucun site. Merci de me répondre.  Cordialement. »

Comme vous le savez, la révolte fiscale des Gilets jaunes a aussi fait remonter de la France entière une demande accrue d’expression et de participation aux décisions.

Aussi, dans son allocution du 10 décembre 2018, Emmanuel Macron a annoncé le lancement d’un grand débat national devant se dérouler de mi-janvier à fin mars 2019 afin que les citoyens puissent débattre des questions qui les concernent.

Mais les contours en restent flous et sa mise en place est semée de controverses et de polémiques. D’après le site consacré à ce débat, une plateforme numérique dédiée permettra aussi de déposer des contributions, mais pour l’instant, elle n’existe pas.

[MàJ du 17/01/19 : la contribution en ligne sera possible à partir du 21 janvier 2019]

Dans la foulée, plusieurs maires ont décidé de mettre des cahiers de doléances à disposition de leurs administrés. L’association des maires ruraux de France (AMRF) ainsi que l’Association des maires d’Ile-de-France (AMIF) ont lancé des appels en ce sens. Il n’en reste pas moins qu’à ce jour, on estime que seules 3 000 à 5 000 communes sur 36 000 ont organisé un tel relais.

C’est pourquoi j’ai décidé d’ouvrir un « Cahier des Doléances » dans mon blog. Ce cahier sera fermé dans 6 semaines, soit le mercredi 20 février 2019 à minuit.

Bien que nettement plus virtuel qu’une mairie, un blog, surtout quand il traite de politique et d’économie, est taillé par nature pour être un lieu d’expression et d’échanges. La zone de « commentaires » qui se déploie sous l’article me semble donc propice à recevoir toutes les doléances, remarques et suggestions que chacun voudra bien y apporter.

Si vous souhaitez commenter « comme d’habitude » sans que votre commentaire entre dans les doléances, écrivez d’abord un grand « C ». Si vous écrivez une doléance qui sera transmise à qui de droit, commencez par un grand « D ».

Exemple de commentaire « comme d’habitude » :

C Je vous trouve bien optimiste, Nathalie MP. Ces doléances seront l’occasion d’une nouvelle opération de com du gouvernement et on n’en entendra plus parler.

[Réponse : Peut-être, mais la demande d’écoute et d’expression est là. Le fait que ces doléances existent permettent une analyse clinique de la situation politico-sociale du pays comme on en dispose rarement, elles ne sont pas limitées aux questions forcément étroites des sondages et elles ferment tout recours aux excuses des politiciens du style : on ne savait pas, on ne se doutait pas, etc.]

Exemple de « doléance » :

D J’aimerais dire à M. Macron qu’il se trompe : l’URSSAF n’est pas notre amie. Elle persécute les artisans et les petits entrepreneurs.

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Dans l’intérêt de tous, et pour que les doléances reçoivent la meilleure attention possible, je demande juste aux participants d’être de bonne foi – ce qui veut dire : petits rigolos s’abstenir, de formuler leurs demandes avec précision voire concision, d’adopter un langage non pas compassé mais correct et respectueux, et d’éviter de critiquer les contributions des autres. Exprimer simplement son avis, même si c’est l’avis contraire de la doléance précédente, donner ses arguments et, pourquoi pas, ses propositions.

Pour ma part, je transmettrai le « Cahier de Doléances », c’est-à-dire les commentaires marqués « D », aux pouvoirs publics (Préfet du Nord, probablement, puisque j’habite dans le Nord) dès le 20 février et s’il y a lieu, j’en ferai un compte-rendu sur mon blog. Naturellement, aucunes références, données, adresses mails etc.. des auteurs des contributions ne seront divulguées.

Précision du mardi 15 janvier 2019 : Hier, j’ai appelé la Préfecture du Nord afin de bien vérifier par quel canal je pouvais faire remonter les doléances D. Il s’est avéré que personne au cabinet du Préfet n’était franchement au courant du fonctionnement de toute cette affaire de débat/doléances.

Après une recherche frénétique dans ses papiers, la dernière personne que j’ai eue en ligne m’a finalement communiqué un numéro vert « Grand débat ».

A ce numéro, qui est celui mis en place par la CNDP (Commission national du débat public, le truc de Jouanno), on m’a transmis une adresse postale pour les restitutions : Grand débat national – Restitutions, 244 boulevard Saint-Germain, 75007 Paris.

Sauf indication contraire ultérieure, c’est donc à cette adresse que je transmettrai en courrier recommandé avec AR les contributions marquées D que j’aurai préalablement imprimées.

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Mais de toute façon, que vous soyez habitués, amis ou lecteurs de passage, faites connaître vos idées ! Alors à vos claviers ! Et à partager le plus possible !


Illustration de couverture : Cahiers de Doléances du Tiers-Etat et du Clergé de Douai et Orchies (Nord), avril 1789.

171 réflexions sur “Le « Cahier des Doléances » du Blog de Nathalie MP est ouvert !

  1. D
    Doléances de gidmoz. Cahier numéro 01.
    1. Interdiction de s’endetter pour tout organisme financé par l’argent public, y compris pour investir.
    2. Tout fonctionnaire sera désormais embauché sous un contrat de statut privé.
    3. Autorisation complète de construire des lignes commerciales d’autocar.
    4. Chaque entrepreneur peut transporter des passagers, en libre contrat avec son client.
    5. suppression du monopole de la Sécu. autorisation de s’assurer auprès de tout assureur-maladie.
    6. autorisation de construire des routes privées. raccordées ou non avec le réseau public de routes.
    7. choix de chaque habitant de choisir son entreprise d’enlèvement de ses déchets.
    8. Suppression de toute taxe liée à l’environnement.
    9. Une mairie peut vendre des concessions sur la voie publique pour certains commerces.
    10. le référendum communal peut devenir exécutoire si une commune le décide ainsi.
    11. suppression de l’impôt sur les successions.
    12. impôt sur les sociétés à 10%.
    13. libre choix de sa caisse de retraite.
    14. autoriser la représentation politique par le mandat de représentation. démocratie délégative.
    15. privatisation de l’Education Nationale et de chacun de ses établissements.
    16. autoriser la construction commerciale de réseaux d’eau potable ou de réseaux d’électricité.
    17. chaque impôt doit être affecté à une dépense spécifique désignée précisément.
    18. impôt sur le revenu par un pourcentage fixe quelque soit son revenu.
    19. imposition sur le capital au taux unique de 1 pour mille de la valeur.
    20. sortir d’un regroupement de communes pour les communes qui le souhaitent.
    21. possibilité de sous-traiter tout travail réalisé aujourdhui par des fonctionnaires. sans exception.
    22. suppression de l’interdiction des cartels et autres ententes entre entreprises.
    23. autorisation de créer et de faire circuler d’autres monnaies différentes de la monnaie légale.

  2. D1 : Réforme de l’Etat
    11- Diminuer les dépenses de fonctionnement de l’Etat par une réforme en profondeur des charges. Ne plus jamais avoir un budget de l’Etat en déficit.
    12- Diminution du nombre de parlementaires à 3 par département (300) plus quelques postes supplé-mentaires (moins d’une cinquantaine) pour harmoniser la représentativité. Diminuer le nombre de sénateurs à 1 par département.
    13- Pour améliorer la surveillance par le Parlement du travail gouvernement, rendre obligatoire les avis des cours des comptes et cours régionales des comptes. Pénaliser financièrement les organismes qui ne se réforment pas selon leurs préconisations.
    14- Rappeler les fonctions régaliennes de l’Etat et fonctionnariser comme actuellement ses agents. Par conséquence, supprimer toute autre fonction publique et donner à ses agents un statut en CDI et CDD commun au secteur privé, y compris Education nationale.
    15- Donner aux régions la liberté
    * financière nécessaire par une affectation des prélèvements locaux, liberté d’éducation, de police locale, d’autonomie financière d’aide sociale.
    * Par conséquence supprimer les départements, leurs conseils et redonner aux régions leurs missions.
    * Régionaliser l’éducation, l »entretien de toutes les routes de tous les bâtiments (éducation ou autre) sur leur territoire.
    D2 ; Rendre à chaque citoyen sa liberté de consommation – fiscalité
    21- Rendre facultatif les prélèvements de sécurité sociale, ouvrir les possibilités de payer un autre système concurrentiel.
    22- Rendre obligatoire le système de retraite par point. La valeur du point étant variable le jour de la retraite pour ne jamais que la caisse soit en déficit, inciter chaque personne à se munir d’une retraite complémentaire.
    23- Réformer le maquis de la fiscalité. Diminuer le nombre de « niches » fiscales. Orienter fiscalement l’argent des familles qui le peuvent vers le financement d’organismes à vocation sociale, (soutien aux familles en difficulté, à la culture, …) et aux entreprises nationales et européennes.
    24- Rendre plus progressif l’IRPP. Le faire supporter par 70% de la population par prélèvement mensuel en non par prélèvement à la source.
    25- Rendre les universités indépendantes : financièrement (donc augmentation des droits d’entrée), dans leurs orientations pédagogiques et dans leurs diplômes. Pour celles qui le veulent, instituer une sélection à leur entrée. En conséquence supprimer le bac dans sa forme actuelle et le transformer en simple notation de fin de scolarité lycéenne.
    à suivre…

  3. D
    Supprimer le droit de préemption urbain des maires. .
    Si la ville veut acheter, à la place d’un acheteur qui a signé une promesse de vente chez le notaire, elle doit acheter au minimum au prix de vente + 1 euro.
    Actuellement les villes préemptent à – 40% des prix initiaux mentionnés dans les compromis de vente entre particuliers chez les notaires, sous prétexte de baisse de leurs finances..
    Si les villes manquent d’argent qu’elles n’achètent plus, ni de l’immobilier ni du foncier.et laissent la place à l’initiative privée !

  4. D
    réduire le nombre de députés sénateurs (au minima par deux) et supprimer leurs avantages (retraite, primes,,salaires), faire disparaitre les ministères inutiles (écologie, culture etc) et s’en tenir au régalien..supprimer la majorité des impôts et responsabiliser les gens (si vous avez des enfants ce n’est pas aux autres de payer pour eux , leurs études et suivi)..faire en sorte d’avoir une justice impartiale et égale pour toutes et tous..inégibilité à vie pour tout élu ou fonctionnaire corrompu ou mis en examen..droit de regard sur les dépenses de tous nos élus et justifications…moins de fonctionnaires décisionnaires.. une égalité entre privé et public sur tous les domaines…privatiser tout ce qui est possible de l’être (santé, transports , energies, communications etc…)..souveraineté de l’Etat par rapport à l’UE

  5. D Organisation de l’Etat (reprise d’une proposition du blog de P Schulter), restauration du principe de subsidiarité mis en oeuvre dans l’organisation suivante:
    Art 1 – La France est une République Fédérale composée de 13 régions.
    Art 2 – La Gouvernance Fédérale :
    Art 2.1 : Le gouvernement Fédéral ne conserve que les fonctions Affaires étrangères et Armée.
    Art 2.2 : Le gouvernement Fédéral est présidé par le Président de la République.
    Art 2.3 : Le Président de la République est élu pour sept ans au suffrage universel.
    Art 2.4 : Le mandat du Président de la République est non-renouvelable.

    Art 3 – La Gouvernance Régionale :
    Art 3.1 : Les régions sont dotées d’une complète autonomie exécutive, législative et financière à l’exclusion des fonctions régaliennes citées à l’Art 2.
    Art 3.2 : Le pouvoir exécutif régional est confié au Président de Région.
    Art 3.2.1 : Le Président de Région est élu pour cinq ans par le Parlement Régional.
    Art 3.2.2 : Le mandat du Président de Région est non-renouvelable.
    Art 3.3 : Le pouvoir législatif est confié au Parlement Régional.
    Art 3.3.1 : Les conseillers régionaux sont élus pour cinq ans à la proportionnelle intégrale.
    Art 3.3.2 : Le mandat du conseiller régional est non-renouvelable.
    Art 3.4 : Par conséquence sont supprimés :
    – L’Assemblée Nationale,
    – Le Sénat,
    – Le Conseil Economique Social et Environnemental,
    – L’ensemble des comités « Théodules » mentionné à l’annexe du PLF2019.

    Art 4 – Les niveaux administratifs :
    Art 4.1 : Les niveaux administratifs des Régions sont limités à 3 : Communes, Territoires et Région.
    Art 4.1.1 : Les Territoires sont issus de la fusion des communautés de communes et des cantons.
    Art 4.1.2 : Les communes gardent leurs prérogatives actuelles.
    Art 4.2 : Le statut de fonctionnaire est réservé aux fonctions régaliennes au sens strict.
    Art 4.3 : Par conséquence sont supprimées :
    – Les départements,
    – Les préfectures,
    – Les sous-préfectures.

  6. D ;
    ECONOMIE POSSIBLE
    Pas de financement ni de subvention par l’état pour :
    Les syndicats
    Les journalistes, journaux et chaîne TV
    Réduction de 60 % du budget du ministère de la culture
    Les associations de toutes sortes
    Fin du statut de travailleur intermittent
    Versement de la retraite aux militaire, policier, gendarmes, agent de la SNCF, élus et fonctionnaires pas avant l’âge légale de la retraite (62 ans ?)
    Fin des pensions de reversement.
    Fin des surprimes pour les retraites demeurant dans les dom tom
    Obligation de se présenter physiquement a l’ambassade de France un fois par an pour le renouvellement du droit a la retraites octroyée aux résidents a l’étranger

    SYNDICAT – ORGANISME D’ETAT
    – Les syndicats ne doivent être finance que par les cotisations de leurs adhérents, aucune subvention par l’état ou un organisme dérivé de l’état.
    – Privatisation des chaines tv.
    – Aucun financement ni aucune subvention par l’état des chaine TV et des journaux. Fin des avantages que les journalistes ont actuellement.
    – Privatisation d’air France
    – Privatisation de la SNCF
    – Cession a 100% de toutes les entreprises ou l’état a des actions Renault, air France etc..
    LES ELUS… LES LOIS
    – Réduire de30 % le nombre de loi par le principe d’une loi votée, 2 lois retirées.

    – Impossibilité de faire passer une loi si 70% des députés ne sont pas présents.

    – Interdiction de voter un budget déficitaire.

    – Un député de devrait être autorise a ne manquer qu’une seul séance au parlement par mois sauf pour ceux des dom tom. Aux 3 premiers manquements a la règle = perte total du salaire et des avantages pour le mois en question, au 4eme manquement a la règle, destitution sans possibilité de se représenter a aucun mandat dans le futur (maire, député etc..) plus de possibilité de travailler directement ou indirectement pour l’administration ainsi que la perte au droit a la retraite pour le manda en question. En cas de longue maladie certifiée, le suppléent prend sa place le temps nécessaire.

    – Chaque élu ou fonctionnaire a tous les échelons qui a profite indûment d’avantage en nature, doit être juge et condamne avec remboursement des sommes en questions. Parution dans la presse en 1ere page et au journal officiel de la preuve du remboursement. Destitution et perdre de tous les avantages que sa fonction lui apportait, ainsi que la perte de sa retraite correspondant a sa fonction.

    – Plus de statut de fonctionnaire, possibilité de licenciement en cas de faute et d’absentéisme répète. Tous fonctionnaire ou élu preneur de décisions et donnant son accord pour des investissements en a la responsabilité et doit être juge si il y a fautes avérée. Plus possibilité de travailler dans et pour la fonction public si il y a condamnation.

    o Réduire le nombre de fonctionnaire de 20 % en réduisant le mille feuille administratif, en réduisant certain poste qui n’on plus le lieu d’être : expl : plus de taxe sur le blé, la farine etc.. = postes libérés, et qu’ils fassent effectivement les heures travaillées correspondant a leur contrat.

    DIVERS

    – Toutes les lois sociétales (avortement, pma mariage pour tous, etc..) doivent être passée uniquement par référendum, et ne pas être financée par l’état (avortement gratuit par exp. cause étique, pas une maladie.)
    – Age de la retraitE pour tout le monde pareil
    – Détention arme libre chez soi (avec autorisation de port sur la voie public) sauf en cas de casier judiciaire.
    – Droit de défendre son bien et sa propriété violée sans condition de légitime défense.
    – Remise des routes a 90km h
    – Retrait des aides sociales aux parents en cas de condamnation d’un enfant. 20 % en moins a chaque condamnation
    – Obligation de crémation du corps d’un djihadiste pcq contraire aux règles musulmanes
    – Peine de mort possible pour les terroristes et les violeurs récidivistes.
    – Mise en examen des juges ayant par leurs jugement porte atteinte a la sécurité des citoyens. Juge par un tribunal civil.
    – Prise en comte des votes blancs
    – Représentation a la proportionnel
    – Vote par la méthode dite alternative
    – Revoir point par point les taxes et redevances a supprimer

    IMMIGRATION

    – Fin du regroupement familial.
    – Visa pouvant être accorde aux nouveau postulant uniquement sur recommandation et sous la responsabilité de personne ayant obtenu la nationalité Française après avoir valide toutes leurs obligations et ayant un emploi stable. Avec justificatif d’une promesse d’emploi engagent la responsabilité de l’employeur pendant un ans minimum.
    – Visa d’un an renouvelable tous les ans aux prétendant a la nationalité Française jusqu’à la 10eme année. En cas de condamnation même minime, fin des visas pour 10 ans.
    – Cour et examen de Français obligatoire, lu, écrit et parle pour obtenir le 3eme visa, si recale, retour dans sa patrie.

    – Nationalité française pas possible avant 10 ans passe sur le territoire sans condamnation et avoir travaille obligatoirement au minimum 7 ans .

    – Extradition après saisie des biens en cas de condamnation pénale avec interdiction de territoire pendant 10 ans ; a vie en cas de viol, de crime ou d’appel a des actes condamnable par la loi : propagande religieuse, appel au racisme, propagande anti France, violence contre les autorités, les professeurs et le personnel des hôpitaux.

  7. D commençons par rechercher les sources d’economie, par exemple:
    Réduction de l’appareil d’Etat ( ministères, assemblée. Nationale, sénat et commissions)
    Suppression des commissions theodules
    Regroupement des communes pour faire des économies d’echelle
    Alignement du régime des retraites des fonctionnaires sur le privé
    Instauration des trois jours de carence pour les fonctionnaires

  8. C
    Pour moi aucun début de réforme n’est envisageable tant que l’EN sera ce qu’elle est. J’ai encore été stupéfié de l’ignorance économique des français. Un exemple : l’autre jour je parlais avec mon frère (qui a fait une école de commerce) et pour lui l’État a le devoir de se mêler de tout, même s’il reconnaissait qu’il ne faisait rien de correct. Sa solution était simple : augmenter son budget en taxant les riches et les entreprises qui polluent !
    En fait, à la fin du « débat » j’étais désespéré; j’avais eu le droit à « un modèle social le plus performant au monde », « les suisses sont riches parce qu’ils ont des banque », « il faut taxer les GAFA »… Il récitait sa leçon et il n’avait jamais mis en doute ces phrases. Si vous avez des arguments que ce genre de personne peut atteindre, je suis preneur ! Parce qu’il y a trop de personnes qui refusent de penser et préfèrent recracher ce qu’ils ont toujours entendu…

    • C
      Bonjour et merci pour votre commentaire !

      « Si vous avez des arguments que ce genre de personne peut atteindre, je suis preneur ! » : Facile ! 🙂 Proposez à votre frère la lecture de certains de mes articles de blog. On m’a dit récemment que leur ton enlevé mais non agressif ainsi que les sources et les éléments chiffrés qu’ils contiennent permettaient de les utiliser sans en arriver directement au pugilat dans les débats politiques familiaux !
      Je suggère par exemple : « Les 3 graphiques de la France qui tombe »
      ou la comparaison avec le Royaume-Uni et l’Allemagne
      ou la comparaison avec les Pays-Bas

      Et tout le reste !

      Il y a aussi de nombreux articles très pédagogiques de Contrepoints et le blog de h16 qui cherche à faire passer des idées libérales à travers une critique à la fois acerbe et amusante des pratiques collectivistes nationales.

      Puis-je en profiter pour demander à mes lecteurs de partager mes articles autant qu’ils le peuvent, par email et sur les réseaux sociaux, afin de faire tourner au maximum les idées libérales ? Ce pays que nous aimons crève d’un étatisme tellement incrusté et pathologique que plus personne n’imagine le remettre en cause.

      • C
        Bonjour,

        Juste quelques mots de commentaire sur l’étatisme chronique dont souffre le pays et la manière de faire prendre conscience aux Français de l’état du malade.
        Globalement, les « libéraux » appartiennent à la même classe de population que les « macronistes », ils sont plutôt jeunes, entreprenants, sûrs d’eux-mêmes.
        Une bonne partie d’entre eux ont d’ailleurs cru le candidat/prophète qui pensait printemps et ont voté pour lui.
        Je mets les « libéraux » entre parenthèses parce que non seulement ils sont difficilement identifiables (pas de parti ni de représentant) mais il existe des courants différents qui les amènent à s’écharper joyeusement entre eux (cf sur le site Contrepoints)
        C’est, me semble-t-il, cette diversité liée au libéralisme même qui rend difficile un discours « entendable » par les personnes lambda pour lesquelles le libéralisme est d’abord le chacun pour soi et que le plus fort gagne.
        La population à convaincre des bienfaits d’un libéralisme face aux méfaits d’un l’étatisme est celle de la classe moyenne qui ne connait de l’économie que la tenue de son propre budget.
        Pour cela, je suggère d’éviter l’ironie et le second degré.
        Ce qui est amusant entre « libéraux » peut vite devenir incompréhensible pour les autres, voire même les détourner définitivement de ce qui peut être considéré comme utopique et loufoque.
        Les articles écrits par h16, parfois à deux mains avec vous, sont toujours jouissifs, mais ils sont réservés à « l’élite libérale » qui peut en déchiffrer les codes.
        Il existe un entre-soi au niveau des « décideurs/sachants », politiques, hauts fonctionnaires, syndicalistes, représentants des médias etc… un entre-soi dont ils excluent avec condescendance et mépris injurieux les non-sachants qui viennent les défier.
        Il existe aussi un entre-soi chez « les libéraux » qui se considèrent comme une « élite » expriment très peu de compréhension et d’empathie.

        Avant de convaincre il est nécessaire d’écouter, écouter vraiment et sans juger.
        Pour écouter et parler, il faut utiliser un langage compréhensible et s’assurer d’être compris.
        Ensuite seulement peuvent s’exprimer les idées, les arguments.
        Il manque un(e) libéral(e) providentiel(le), un(e) orateur(trice), une figure médiatique pour porter le message de façon bienveillante et pédagogique (un(e) saint(e) qui déciderait de prendre son bâton de pèlerin…!)

        En quelques années grâce au GIEC, la quasi totalité des Européens y compris les plus éduqués, si ce n’est la quasi totalité des humains ont intégré que les variations du climat dépendaient d’eux et de leurs actions et que la planète était au bord du suicide.
        C’est dire la puissance de la propagande.
        Pour inverser une propagande qui met l’Etat au centre de tout depuis toujours, il faut connaître son adversaire et l’adversaire n’est pas « l’ignorant » qui demande la suppression de l’ISF.

        Désolé d’avoir été si long…

  9. D : Instituer la règle suivante. Un impôt (taxe, …) est nécessairement simple. Tout projet d’impôt qui ne peut être simple dans sa promulgation ou son exécution doit être abandonné.

  10. D : La DOUBLE PEINE

    1ère PEINE : Les retraités qui ont subi (très involontairement car ils ne sont pas responsables des paramètres générant le plein emploi ou le chômage) d’assez longues périodes de chômage dont certaines non indemnisées et donc n’ont pas suffisamment cotisé pour bénéficier d’une retraite complète se trouvent obligés de continuer à travailler pour des raisons financières.

    2è PEINE : En continuant de travailler ils cotisent aux Caisses de Retraites (Carsat, Agirc et Arrco) sans en obtenir le juste retour puisque leurs cotisations ne sont pas considérées dans le calcul de leur retraite.
    En conséquence je demande pour les retraités n’ayant pas le nombre de trimestres leur permettant de prétendre à une retraite complète et qui se trouvent dans l’obligation de travailler, que les trimestres actuellement travaillés soient rajoutés et comptabilisés pour revaloriser leur retraite.

  11. D 1 : inscrire la règle d’or dans la constitution en interdisant tout budget en déficit quel que soit le mode de calcul et sans possibilité de soustraire au dit calcul aucune dépense ni de tolérer aucune exception : » toute dépense nouvelle doit être couverte par une rentrée nouvelle »
    D2 : privatiser le service public de l’audiovisuel dans sa totalité.
    D3 : supprimer toutes les aides à la presse sous quelque forme que ce soit, y compris sous forme de niches fiscales.
    D4 : amener le budget de la justice au niveau de dépenses par habitant de nos voisins européens, hors budget des prisons. Réformer le fonctionnement de l’école supérieure de la magistrature. Interdire les syndicats de fonctionnaires y compris pour le corps judiciaire.
    D5: supprimer l’ENA
    D6: instaurer des concours à l’entrée de l’enseignement supérieur, donner totale autonomie administrative et budgétaire aux universités
    D7: donner totale autonomie administrative et budgétaire aux établissements publics et privés d’enseignement. Supprimer le statut de fonctionnaire pour les employés de l’éducation nationale, y compris pour le corps enseignant.
    D8: supprimer le monopole de la Sécurité Sociale sur les branches maladie et vieillesse en accord avec la réglementation européenne, soit dit en passant. Ouvrir les fonds de pension à tous les français, et pas seulement aux fonctionnaires.
    D9: supprimer l’obligation d’adhésion à l’assurance chômage.
    D10: supprimer le statut de fonctionnaire hors pour les employés des fonctions régaliennes de l’état, à savoir uniquement police, justice, armée, diplomatie.
    D11: refondre tous les codes juridiques (civil, pénal, des affaires, travail.. ) pour supprimer purement et simplement tous les « crimes sans victimes » tels que « non port de la ceinture de sécurité », « non publication des comptes annuels »….
    D12: aligner purement et simplement sans condition les systèmes de retraite publics et privés : un système unique obligatoirement à l’équilibre annuellement pour ceux n’ayant pas choisi le privé pour s’assurer.
    D13: suppression de toutes les réglementations thermiques et d’accessibilité dans la construction. Suppression des demandes de permis de construire pour des modifications n’affectant pas la surface construite.
    D14: refonte complète de l’impôt sur le revenu avec instauration d’un flat tax calculée individuellement sans aucune niche d’aucune sorte ni aucun privilège d’aucune sorte. Suppression de la distinction entre revenus du travail et du capital : un revenu est un revenu. Suppression de l’impôt sur les sociétés (qui est le dahut de la fiscalité car une entreprise ne paie pas d’impôt, il s’agit soit de ses clients, soit de ses employés, soit de ses propriétaires). A défaut de suppression de l’impôt sur les sociétés, instauration du principe de justice fiscale qui consiste à ce qu’un revenu ne soit taxé qu’une fois : si l’impôt sur les sociétés est maintenu, les dividendes ne peuvent être taxés au titre de l’impôt sur le revenu (système en vigueur au Brésil par exemple, autre pays à la fiscalité par ailleurs délirante soit dit en passant)

  12. D La constitution doit être révisée à partir des 7 PRINCIPES CONSTITUANTS suivants :

    Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits.

    Le but de l’Etat est de garantir les droits naturels et imprescriptibles du Citoyen qui sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.

    Le consentement entre adultes capables vaut loi.

    L’Etat s’attache au principe de parcimonie notamment dans sa production législative.

    La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres.

    Une liberté imposée est constitutive d’une oppression.

    La vérité n’est pas affaire de consentement mais de preuves expérimentales.

  13. D Réduire le poids de l’état
    Président élu sur un septennat unique.
    Deux mandats quinquennaux non consécutifs maximum pour les autres mandats. Tous les élus détachés par leur employeur au service de l’état qui leur paye leur salaire d’activité civile pendant le mandat.
    Absences non justifiées des élus décomptées de leur salaire.
    Obligation d’un quorum physique de 80% pour valider un vote.
    200 députés, 100 sénateurs.
    Election des juges (séparation des pouvoirs).
    Interdiction à l’exécutif (gouvernement) de proposer des lois à l’examen de l’assemblée nationale (séparation des pouvoirs).

    3 niveaux d’administration : l’état, la région, l’agglomération et c’est tout. Réduction à 10 000 le nombre des conseils municipaux dans un premier temps. Obligation de fusionner pour les agglomérations dont le bâti est mitoyen.

    5 ministères : Intérieur, défense, justice, affaires étrangères et finances.
    Suppression du premier ministre
    Les ministres sont nommés en dehors des députés, sénateurs et magistrats.

    Fermeture du CESE
    Fermeture de l’ENA et des IEP.

    Interdiction à un membre de l’administration de briguer un mandat politique.
    Fin du statut de la fonction publique.
    Abrogation du droit administratif et réintégration de l’administration dans le droit commun.

    Liberté d’association et d’organisation contractuelle entre citoyens d’un périmètre donné sur le sujet et la méthode de leur choix.

    Mise en place de la votation citoyenne aux 3 niveaux local, régional et national. Libre choix du sujet et de la méthode de leur choix.
    A titre transitoire, seuil de signatures de 1% de la population du périmètre pour initier le texte du référendum sous forme de pétition en 6 mois maximum. Mise a référendum sur le périmètre dans l’année qui suit. Si résultat positif, la mesure est adoptée sous forme de contrat. Voir art 139 à 141 de la constitution suisse.

    Droit de pétitionner un député avec un seuil de signatures de 1/20000 de la population française. Obligation faite au député d’en rendre compte en commission ou à l’assemblée nationale.

    Non remplacement des fonctionnaires partant en retraite pendant dix ans.

    Primauté du droit français sur le droit européen et international sur le territoire français.

    Encadrement de la jurisprudence qui doit être validée par le parlement et le conseil constitutionnel qui devient une norme inférieure aux lois et codes.

    Vérification de la conformité à la constitution française et mise à référendum préalables de tous les accords et traités proposés à la signature de la France (ONU, Europe etc). Obligation à l’état de se conformer au choix du peuple de France. Inscription de cette loi dans la constitution.

  14. D Réduire le poids des normes

    Suppression du principe de précaution.
    Abrogation de la loi relative à la transition énergétique.
    Abrogation du SMIC
    Abrogation des lois mémorielles, fake news et toutes dispositions attentant à la liberté d’expression.

    Abrogation des monopoles d’état dans le domaine de l’énergie, du transport, de l’éducation et de la santé.
    Privatisation de l’audiovisuel public.
    Vente de toutes les participations au capital des entreprises privées de l’état et des communautés territoriales.
    Affectation du produit de ces ventes au remboursement de la dette.
    Interdictions faite à l’état d’octroyer des licences d’exploitation et charges dans quelque domaine que ce soit (télécoms, transports, santé, notariat, professions libérales).
    Fin des professions réglementées : notaires, taxis, médecins etc.
    Fin des régimes « spéciaux » : SNCF, journalistes, culture, intermittents du spectacle, élus etc
    Inscription dans la constitution du respect de la liberté individuelle d’entreprendre. Inscription dans la constitution du primat de la libération du marché sur la protection des business/rentes.
    Mise en place de loi antitrusts et anticartels.

    Promotion et développement de la subsidiarité.

    Liberté pour les citoyens d’un périmètre donné de créer et d’utiliser une monnaie pour leurs transactions internes.

    Recentrage de l’Europe sur des collaborations régaliennes soumises à la validation du RIC.
    Collaborations industrielles européennes sur le modèle d’Airbus et Arianespace sans intervention des états ou des institutions européennes dans le respect de la concurrence libre et non faussée.
    Abandon du projet de défense européenne.

    Retrait de la France de la COP et de l’accord sur l’immigration de Marrakech.
    Retrait progressif de l’OTAN.

  15. D Réduire le poids des prélèvements

    Placement de l’administration sous tutelle de la cour des comptes qui se voit dotée de pouvoirs de contrainte sur l’administration publique et d’un droit de veto sur le budget.
    Obligation pour 10 ans de présenter un budget en excédent de 5%. Si l’objectif d’au moins 5% d’excédent n’est pas atteint une année, compensation et report sur l’année suivante.

    Abrogation de la CSG.
    Suppression de la TVA.
    Suppression de la taxe carbone et de la CSPE
    Suppression des allocations familiales.
    Abrogation des taxes sur les transactions financières.
    Abrogation des taxes sur la propriété privée (taxe foncières, droits de succession, ISF etc)
    Interdiction à l’Etat, la région, l’agglomération de subventionner quelque activité ou association que ce soit.

    Abrogation des lois Fabius relatives à l’intégration fiscale et à la propriété d’œuvres d’art.
    Imposition des sociétés sur la base de leur bénéfice global groupe pondéré de la fraction du chiffre d’affaires réalisé en France à un taux unique. Taux voté par le parlement lors du vote du budget.

    Fin du monopole d’état sur les prestations sociales. Interdiction à l’état d’accorder des prestations sociales à titre gratuit ou vendues à perte.

    Versement du salaire complet (salaire brut + charges »patronales »)
    Création d’un ticket éducation couvrant les frais d’enseignement utilisable avec l’organisme de son choix. Valeur du bon : 8000 euros par enfant et par an.

    Propriété foncière intégrale incluant le sous sol et l’atmosphère dans un cône passant par la surface possédée, du centre de la terre et au-delà.
    Droit d’exploitation des ressources contenue dans le volume de la propriété foncière.

    Rétablissement de l’impôt sur le revenu pour tous avec 3 tranches pendant 5 ans : un taux réduit jusqu’à 75% du revenu médian, un taux moyen de 75 à 200 % du revenu médian et un taux marginal au-delà de 2 fois revenu médian. Suggestion pour les 3 taux : 3%, 10% et 20%.
    Passage à une flat tax ensuite. Le taux est fixé en fonction de la politique budgétaire et voté par le parlement.

    Mise à votation citoyenne locale et régionale des taxes locales.

  16. D15: suppression du système de formation professionnelle avec obligation de cotiser pour les employeurs.
    D16: suppression de toutes les subventions à quel que niveau que ce soit (communal, départemental…) et interdiction du principe même de subvention inscrit dans la constitution.
    D17: suppression des subventions aux chambres consulaires, suppression des taxes pour le financement de ces dernières, suppression de l’obligation d’y adhérer : que ces chambres attirent leur membres par les services proposés
    D18: suppression de la taxe foncière, des droits de mutation, des droits de succession
    D19 : suppression de toutes les taxes pesant sur l’énergie électrique, hors la TVA. Que ceux qui souhaitent de l’énergie produite par des moulins à vent ou des panneaux solaires made in China en paie le vrai prix
    D20: moratoire de toute construction d’installations de production d’énergie intermittente. Moratoire sur toute fermeture de centrale nucléaire.
    D21: vente de toutes les participations de l’état dans toutes les sociétés publiques ou privées
    D22: suppression du principe de précaution de la constitution
    D23: suppression du ministère de l’écologie.
    D24: suppression de toutes les instances du personnel dans les entreprises
    D25: suppression du CDI et établissement d’un contrat de travail unique sans aucune durée spécifiée et avec totale liberté de licenciement moyennant une indemnité connue à l’avance de tous et fixe et immuable (1mois de salaire net par année d’ancienneté par exemple)
    D26: obligation de la charge de la preuve à l’accusation dans toute procédure engagée par l’administration. Principe du « qui ne dit mot acquiesce » pour toutes les démarches administratives sans aucune exception que ce soit. Obligation de délai de réponse administrative en accord avec le rythme de la vie moderne (deux semaines maximum pour un permis de construire ou une déclaration ICPE par exemple).

  17. D27: séparation totale et réelle des trois pouvoirs avec élections des juges au suffrage universel sur listes constituées à partir de personnes ayant un niveau de compétence et de formation juridique minimal.
    D28: fin du regroupement familial. Expulsion des immigrés clandestins avec inscription à un fichier centralisé. Interdiction définitive d’obtention de carte de séjour, de visa ou de nationalité française aux personnes inscrites sur le dit fichier (tu veux vivre en France, tu commences par respecter les lois, y compris celles sur l’immigration).
    D29: poursuites pénales systématiques contre les personnes morales ou physiques qui prennent part au trafic d’êtres humains sous quelque forme que ce soit, y compris par l’aide en mer aux embarcations affrétées par des mafias.
    D30: privatisation des HLM, suppression de la loi obligeant les mairies à construire des logements sociaux.
    D31: rétablissement du droit de propriété privée avec la suppression de la trêve hivernale, la suppression du délai de constatation d’occupation illégale ( une occupation illégale au bout de 24h l’est toujours au bout de 10 ans !), délai de tolérance pour retard de loyer abaissé à 21 jours comme en Nouvelle Zélande, obligation faite aux préfets de faire expulser les locataires indélicats sous 48h après demande faite par le propriétaire légal en possession de l’ordre d’expulsion.

  18. Merci pour votre blog, vos analyses, vos piquants billets. C’est un plaisir à lire et je partage tout à fait votre analyse.

    Les deux points clef pour la France:
    D1) réduction de la pression fiscale à tous les niveaux (impôts sur revenu, TVA, IS et impôt sur la succession),
    et D2) une refonte total du droit du travail (élimination du SMIC, et élimination de la désastreuse dichotomie CDI/CDD). Cette première, la baisse des impôts, doit être accompagnée par une baisse des dépenses publique évidemment avec réduction massive du nombre de fonctionnaires. Cette baisse des dépenses doit se faire avec un léger retard et un peu plus lentement que la baisse immédiate de la pression fiscale, pour laisser le temps a la croissance économique ainsi amorcée d’avoir un vrai effet et de compenser le vide étatique que nous souhaitons si ardemment. Cela voudrait dire un déficit budgétaire plus élevé pendant un ou deux ans, le temps pour le marché d’agir.

  19. D
    Mr Macron, abandonnez immédiatement toute subvention aux éoliennes et au solaire. Ces installations sont aussi coûteuses qu’inefficaces, faussement vertes. La France dispose d’une électricité fiable, pilotable, à faible coût, exportatrice, comme vous l’avez d’ailleurs souligné, grâce aux centrales nucléaires. Continuons à investir dans ce domaine qui est le bon sens même.

  20. D
    Frédéric Bastiat : « Pour moi, je pense que lorsque le pouvoir a garanti à chacun le libre exercice et le produit de ses facultés, réprimé l’abus qu’on en peut faire, maintenu l’ordre, assuré l’indépendance nationale et exécuté certains travaux d’utilité publique au-dessus des forces individuelles, il a rempli à peu près toute sa tâche »

    FONCTIONS RÉGALIENNES :
    Restreindre l’intervention de l’état à ses fonctions régaliennes essentielles.
    Pour ce faire, inscrire ces fonctions régaliennes dans la Constitution, en toutes lettres.
    – Sécurité :
    o extérieure (diplomatie, armée)
    o intérieure (police) ;
    – Droit et justice ; les magistrats ne sont pas nommés mais élus parmi leurs pairs et leur mandat ne peut être renouvelé qu’une fois.
    – Budget (impôts et taxes) : le budget de l’état ne peut en aucun cas être déficitaire plus de deux ans.

    [À noter que selon Ayn Rand, un gouvernement ne doit assumer que trois fonctions : la Police (protéger les citoyens), la Défense (se protéger d’une invasion étrangère) et la Justice (régler les conflits selon des lois objectives). Toute autre fonction requerrait l’usage (coercitif) de la force et serait immorale.]

    En outre, ces fonctions sont à la fois :
    – délimitées (Conseil Constitutionnel, Conseil d’état,) et
    – contrôlées (Cour des comptes). Octroyer à la Cour des comptes un pouvoir coercitif et non plus consultatif.

    FONCTIONS NON RÉGALIENNES :
    – Fournir et organiser des infrastructures et des institutions publiques, indispensables à la communauté, mais que le secteur privé ne peut financer globalement de façon profitable (Exemples : enseignement, soins pour tous, accès à l’énergie. à l’eau – liste non limitative.)

    LOIS :
    Chaque loi organique doit être votée à la majorité des deux cinquièmes des deux chambres.
    Chaque loi doit être votée à la majorité absolue des deux chambres des représentants.
    Aucun représentant ne peut être absent lors du vote de ces lois. Tous les votes sont nominatifs. Une seule procuration autorisée..

    REPRÉSENTATIVITÉ :
    Les partis politiques ne sont pas subventionnés.
    Suppression des groupes parlementaires.
    Les représentants sont des élus du peuple : leur projet est public et leurs votes individuels, et engagent leur responsabilité devant leurs électeurs.

    • C

      Excellente citation de Frédéric Bastiat : « Pour moi, je pense que lorsque le pouvoir a garanti à chacun le libre exercice et le produit de ses facultés, réprimé l’abus qu’on en peut faire, maintenu l’ordre, assuré l’indépendance nationale et exécuté certains travaux d’utilité publique au-dessus des forces individuelles, il a rempli à peu près toute sa tâche »

      Admirons une fois de plus l’usage que l’on savait faire, jadis, de la magnifique langue française. Le pouvoir garantit à chacun le libre exercice et le produit de ses facultés. Ça tient en moins d’une ligne, c’est compréhensible par tous, c’est tout à fait précis et c’est parfaitement juste. Il n’y a pas un mot de trop.

      Rien à voir avec la « justice sociale » ni même « l’égalité des chances » — et encore moins avec la « répartition des richesses », bien entendu. Le libre exercice de ses facultés, et le produit qui en résulte. Voilà. Pas plus, pas moins.

      • C
        Et s’il n’y avait que cela dans l’œuvre de F. Bastiat…
        Bonne chance à Nathalie pour remonter habilement toutes ces suggestions ! En les lisant, je constate que certains ont pensé vraiment à tout… et au reste -:) !
        Ôter de la constitution le principe de précaution, ne plus subventionner, ne plus tenir la main du citoyen (et « en même temps » lui faire les poches)… vaste programme. On peut toujours réver

  21. Par quoi commencer…
    D:
    – réduire le périmètre de l’Etat en le concentrant sur ses fonctions régaliennes
    – Etablissement du salaire complet
    – fin du SMIG
    – protection sociale: fin du monopole de la sécurité sociale
    – éducation: création d’un chèque éducation, liberté de choix
    – retraites: harmonisation entre les systèmes du public et privé. Création d’un système par capitalisation déductible fiscalement.
    – Constitution: suppression du principe de précaution
    – Arrêt de la transition écologique, transition énergétique
    -Suppression de l’ENA
    – Suppression du CESE

    entres autres…

  22. D
    Initialement le mouvement des gilets jaunes ne demandait pas le rétablissement de l’ISF: il s’agit d’une revendication de la France insoumise qui est venue parasitée le mouvement et qui arrange bien les journalistes et le gouvernement. Avec une telle revendication, on est en terrain connu: on reste dans la taxation à tout va. Or, c’est un piège: le rétablissement de l’ISF permettrait de justifier la création de nouveaux impôts et taxes et tout continuerait comme avant à la grande satisfaction des macronistes, des socialistes, des insoumis et de la droite juppéiste.
    – Il faut donc supprimer ou baisser taxes et impôts pour redonner du pouvoir d’achat aux Français.
    -Suppression de la redevance TV et privatisation des chaînes de télé et de radio appartenant à l’Etat.
    – Suppression du CRDS (remboursement de la dette sociale).
    – Renoncement de la part des parlementaires et du gouvernement à proposer la création de nouvelles taxes pour faire croire qu’on agit.
    -Réforme de l’impôt sur le revenu aboutissant à une baisse des impôts pour tous en particulier pour les ménages gagnant entre 2000 et 6000 euros par mois.
    Suppression du CESE (conseil économique social et environnemental)
    – Suppression du CSA et de nombreux autres comités, commissions, hautes autorités… (avec les traitements afférents).
    Voilà mes premières idées simples et assez faciles à mettre en oeuvre.On peut également envisager la possibilité de créer des écoles privées qui pourront pallier l’impuissance actuelle de l’éducation nationale.

    • C

      Sans me prononcer sur vos doléances elles-mêmes, je suis en désaccord avec cette analyse que vous faites du mouvement :

      « Initialement le mouvement des gilets jaunes ne demandait pas le rétablissement de l’ISF : il s’agit d’une revendication de la France insoumise qui est venue parasiter le mouvement. »

      Le rétablissement de l’ISF a été réclamé par Jacline Mouraud, dont la vidéo, relative aux problèmes des automobilistes, a lancé le mouvement. Et elle fait partie des gilétistes modérés. Elle a même déclaré, aux médias, qu’elle ne voyait « que » le rétablissement de l’ISF pour calmer la colère.

      Cette remande a été omniprésente dès le début du mouvement. On la retrouve dans de nombreux communiqués de revendications officiels, sur de nombreuses pancartes, dans les cahiers de doléances des mairies et dans les sondages.

      Il est trop facile de dire que La France insoumise a parasité les Gilets jaunes. La France insoumise, ce ne sont pas des hordes étrangères venues chez nous en char d’assaut, et bunkerisées à Paris. Ce sont des Français. Les sympathisants de La France insoumise et du Rassemblement national sont sur-représentés parmi les Gilets jaunes.

    • C
      C’est l’excès de taxes qui a provoqué le mouvement des gilets jaunes. C’est cela qui est en jeu. Les journalistes, la gauche et le gouvernement ont valorisé la demande de rétablissement de l’isf qui, contrairement à ce que vous affirmez, n’est pas prédominante sur le terrain. En revanche, elle l’est dans les médias: il s’agit d’un moyen d’écarter la question fondamentale de la BAISSE DES IMPOTS. Les macronistes, les socialistes, une grande parti de la droite ne veulent pas en entendre parler: baisser les impôts, ils ne savent pas faire, ils ne veulent pas le faire.C’est pourquoi, j’ai fait quelques modestes propositions mais réalisables très rapidement. Il n’y a qu’un sujet: comment ne plus recourir aux taxes. Parler d’autre chose, partir dans des débats peu intéressants sur le mouvement social, c’est s’égarer et perdre de vue l’objectif. C’est d’ailleurs ce que souhaitent Macron et son gouvernement à travers le grand débat.

      • C

        Les Gilets jaunes demandent le rétablissement de l’ISF. Le gouvernement refuse le rétablissement de l’ISF. Après, on peut toujours pinailler.

        De façon générale, montrez-moi un seul communiqué de revendications des Gilets jaunes qui ne soit pas fait sur le modèle suivant :

        1. Moins d’impôts et plus de salaire, d’allocations, de subventions et d’avantages pour moi.

        2. Plus d’impôts et moins de salaire, d’allocations, de subventions et d’avantages pour les autres. Il n’y a pas que l’ISF. Il y a aussi les taxes sur le kérosène, les bateaux (les avions et les bateaux sont méchants, les voitures sont gentilles), les taxes sur les Gafa (après avoir fait payer les riches, on va faire payer les Américains, il n’y a pas de Gafa françaises, tous les Français sont paysans à trois vaches ou épiciers de village), les taxes sur les transactions financières (transacter financièrement, c’est pas bon, seul l’échange de carottes moches contre de la monnaie locale a de l’intérêt), etc.

        3. Surtout pas de diminution de la dépense publique, sauf de façon parfaitement symbolique et punitive (moins de députés, moins payés, moins de voitures de fonction, etc.)

        4. La dictature du prolétariat : quand on vous dit de partir vous partez, quand « le peuple » est en colère vos flics doivent se laisser tuer sans réagir, les députés doivent faire ce qu’on leur dit, « c’est un ordre » (pratiquement dans ces termes dans l’un des communiqués de synthèse les plus construits), etc.

        5. Pour certains, la dictature militaire tout court. L’un des porte-parole les plus en vue des Gilets jaunes a exigé un gouvernement militaire de transition.

        6. Pour tous, le refus de coopérer entre eux et la lutte de tous contre tous, même dans leurs propres rangs. Menaces de mort contre leurs porte-parole, batailles de chiffoniers entre Ludosky et Drouet parce que leurs sites ont le même nom, mais que Drouet a ajouté trois points d’exclamation, et qu’il a les miquettes d’être poursuivi par la justice pour la manifestation de Bourges à laquelle il n’a pas appelé (quel courage ! quelle solidarité ! quelle noblesse du peuple en lutte !)…

        Si vous ne savez pas reconnaître le socialisme (et même le bolchevisme en modèle réduit) dans cet ensemble de revendications, je ne sais pas ce qu’il vous faut. Chacun projette ses propres fantasmes sur le mouvement, parce que le « peuple », c’est bien, la « révolution », c’est bien, mais il y a un moment où il faut reconnaître la réalité.

        Dire : je n’aime pas les impôts que je paye, ce n’est pas être libéral. Dire : soit tu mets un gilet jaune et tu dis que tu nous soutiens, soit on va te traiter de pute et te faire attendre deux heures au barrage (quand on ne brise pas les vitres de ta voiture en menaçant de te violer), ce n’est pas être libéral.

        Faire des barrages la nuit avec pour conséquence inévitable des accidents potentiellement mortels (et, surprise ! c’est bien ce qui s’est passé), ce n’est pas être libéral. C’est être facho-socialiste et fouteur de merde, tout pour ma gueule et va chier, rien à foutre.

        C’est juste le contraire du libéralisme, en somme.

  23. D
    Je pense que la médecine Française a pris un sale tournant en se laissant diriger par les firmes pharmaceutiques. Le dogme est devenu « une molécule (chimique) par maladie » L’industrie produit cette molécule et les médecins la prescrivent… C’est pas mal, si ce n’est que dans de nombreuses situations les molécules ne soignent rien ou dégradent la situation et que les pharmaciens font tout pour l’imposer, souvent par des voies qui passent par le financement de campagnes électorales. Cette situation para-mafieuse instaure une fausse attitude de leader qui n’est qu’un aveuglement sur d’autres traitements qui peuvent être plus efficaces et généralement moins coûteux, par exemple les médecines dites « douces » comme la phytothérapie, la phagothérapie, les huiles essentielles et même l’homéopathie tant décriée. Un autre exemple est une virothérapie développée en Lettonie soutenue par la commission Européenne (projet Horizon 2020) et primée. Ce traitement qualifié de charlatanisme par les oncologues Français est l’un des rares à pouvoir guérir des cancers avancées. Il est largement utilisé par les médecines « alternatives » d’Allemagne et d’autres pays plus ouverts que nous et sur lesquels nous pourrions prendre exemple.

  24. D
    Étant, un jeune libéral de 18 ans, j’ai de grandes idées de reforme pour la France.
    Pour ma part, je préconise:
    -mise en place d’une flat taxe imposé sur 8% pour les moins de 20000 euros et 14% pour les plus de 20000
    -augmentation du salaire de 50% en supprimant les cotisations retraites
    -suppression impôt sur le revenu
    -baisse de taxe (pétrole, entreprise)
    -suppression de fonctionnaire au niveau agricole
    -baisse des aides sociales
    -fin de l’implication de l’état dans le chômage
    -Fin transition écologique
    -responsabilisation des individus et mise en place de l’Eco-citoyenneté Libre
    -mise en place de droit de propriété pour faciliter la préservation de l’environnement
    -principe de non-dégradation
    -mise en place d’école libre
    -mise en place de chèque d’éducation
    -mise en place de concurrence au niveau de l’éducation
    -limitation école hors contrat
    -instauration d’une science cognitive
    -mise en place de cours en ligne obligatoire et accessible a tous gratuitement
    -mise en place de bon remboursable qui, sera consommé uniquement dans l’éducation
    -mise en place d’un salaire du mérite pour les prof

    • C
      Excusez moi mais je ne comprends pas bien : « mise en place d’école libre » et « limitation école hors contrat » ?
      D’autre part « instauration d’une science cognitive », au pluriel en français svp merci: elles ne vous ont pas attendu et existaient bien avant que votre mère ne vous ait porté !!! 😉
      Et dans vos cours en ligne, le robot qui vous corrigerait serait un « prof rémunéré au mérite »… de quoi???
      Quant à votre pays imaginaire, je vous souhaite d’accomplir vos rêves loin… très loin de notre France.
      Non, ce commentaire (D?) de Raphaël ne vole pas plus haut qu’un GJ, que des idées fumeuses, j’espère que Nathalie osera faire un tri raisonnable.

      • C
        Bonjour Françoise, je vais vous éclairer un peu plus mes pensée (je vais essayer de faire le minimum de faute vu que vous avez l’air très pointilleuse sur le sujet :)). Ce que j’appelle les écoles libres se sont ce que les anglais appellent les « free-schools » autrement dit des écoles qui peuvent être financés par l’État mais qui sont autonome, et donc indépendante et peuvent être financés par des parent, des sociétés pour améliorer les résultats, choses que je n’avais pas précisé hier (car faute de temps j’ai du faire au plus court) ces écoles sont un complément des écoles publique (je ne souhaite en aucun cas la disparition des professeur du public) et qu’elle seront implantés principalement dans les zones pauvres autrement dit la où il y a le plus de chômage et le plus de violence.(je vous invite à voir l’article de Contrepoints à ce sujet)

        Pour le points des écoles hors-contrat; la aussi sujet intéressant, je ne remet aucunement en cause leur efficacité (il me semble qu’elle s’approchent des 97% de réussite au bac) je dis juste que d’un point du vu laïc, il est preferable de les limiter car grand nombre de problème peuvent s’y trouver. L’idée en soit est bonne mais malheureusement il y a des dérives.

        Ensuite vous avez mélanger plusieurs points (cours en ligne et rémunération au mérite), il n’est nullement question de corriger en ligne (quoique cela pourrait se faire dans certaine conditions) mais simplement de donner la liberté aux élèves de pouvoir avoir accès au cours de n’importe qu’elles écoles en ligne. Pour la rémunération au mérite, cela ne s’appliquerait pas forcément au niveau du publique, mais je considère (en tant que fils de deux professeur) que ceux qui en « bavent » et qui se donnent à 100% dans leur travail doivent être mieux rémunérer à même échelon qu’un prof qui ne fait pas grand chose.

        Pour les sciences cognitives, effectivement ça existe déjà mais ce n’est pas appliqué dans l’éducation (ou du moins pas dans le publique) et, étant étudiant je n’ai jamais été en 15 ans confronté à ses sciences ou du moins pas en forme de cours.

        Pour ce qui est de mon « pays imaginaire » j’aurai aimé un peu plus d’arguments dans vos propos car je tien juste à dire que j’ai quasiment pris le même programme de Tatcher (en le modifiant un peu), programme qui a relancé l’Angleterre.

        Si vous souhaitez d’autres précisions n’hésitez pas, je serai ravi de vous répondre.

        Bonne soirée

      • C
        @jeune Raphaël
        désolée de vous écrire au dessus mais il n’y a pas de case pour répondre sous votre commentaire.
        Il faudrait un peu de temps pour vous expliquer notre système éducatif français, que vous ne connaissez visiblement pas.
        D’un côté vous avez l’école publique, dont les locaux et fonctionnement sont payés par les mairies (département pour les collèges, régions pour les lycées) et les profs par l’Etat, avec des programmes nationaux.
        A côté, vous avez l’enseignement sous contrat d’association (que certains appellent encore « l’école libre » mais qui n’a de libre que le surnom) dont les locaux et fonctionnement sont payés par les mairies par le forfait communal (art 442-5 code de l’éducation), par les départements et régions pour les collèges et lycées dans la limite de 10% de leur budget, et par les familles; les profs étant payés par l’Etat. Il va sans dire que le « sous contrat » respecte les programmes scolaires nationaux.
        Encore à côté vous avez les écoles hors contrat qui se financent de façon privée, aucune aide de l’Etat, avec une latitude dans les programmes sauf qu’elles doivent présenter le bac donc les programmes se calent forcément sur le BO.
        Vous demandez de calquer le nouveau modèle anglais des free schools en France, c’est à dire des écoles qui recevraient un forfait des collectivités locales par élève pour les locaux, le fonctionnement et les profs, avec toute latitude sur les programmes, mais pourquoi alors donner un chèque éducation aux familles? Celui-ci en France est demandé par les familles qui voudraient choisir le hors contrat, mais vous voulez par ailleurs limiter celles-ci car vous avez peur des dérives confessionnelles. Vous ne voudriez tout de même pas un chèque éducation pour le sous contrat alors qu’il est déjà subventionné par l’Etat, ni pour le hors contrat puisqu’il vous fait peur, ni pour les écoles libres type free schools anglaises puisqu’elles seraient déjà entièrement subventionnées par l’Etat comme notre école publique… mais pour qui alors?
        Pour le robot qui corrigerait en ligne, c’était de l’humour mais vous féliciterez vos parents pour leur dévouement, tout naturel par ailleurs et ne nécessitant pas de prime particulière difficile à quantifier (au volume de restitution de leurs élèves???)
        Je ne suis pas pointilleuse sur l’orthographe, quoique, mais les sciences cognitives ne s’emploient pas au singulier en français; vous venez apparemment du UK donc vous êtes à moitié excusé mais n’allez pas imaginer que les sciences cognitives ne sont pas enseignées en France: elles le sont en formation initiale des enseignants et nous l’utilisons dans nos pratiques pédagogiques, en particulier dans les dispositifs ASH (je vous expliquerai celui-ci dans un autre post)
        Je ne commenterai pas vos propositions fiscales et économiques car elles sont tellement loufoques que vous êtes le seul à les proposer; restez donc au UK puisque vous êtes un aficionado de Thatcher (c’est bien ça, un pays imaginaire dans 3 mois…) et rajoutez donc dans vos demandes d’enfant gâté de supprimer le SMIC, ça collera plus à votre idole.

      • C

        Merci Nathalie MP de m’appuyer sur Tatcher et les article sur contrepoints à son propos nous change totalement de la vision française.

        @Françoise
        Je vois visiblement que vous connaissez bien le secteur éducatif de la France (moi je le connais aussi étant français, qui plus est français depuis 7 siècles et non anglais comme vous l’insinuée même si je sais que c’est de l’humour ) et pour mes fautes le correcteur de mon iPhone ne connaît pas certaine règles de grammaire.
        Ceci étant fait revenons 30 secondes aux sciences cognitives, si vous êtes professeur, dites moi à quel moment de la vie étudiante (primaire —-> études supérieures) on enseigne cela.
        Pour revenir au mesure fiscale, économique et budgétaire tout ce que je propose ne se fera pas en un claquement de doigts mais sur du long terme, une chose est sûre c’est que notre pays a besoin de réforme libérale sur tous les secteurs et en particulier au niveau fiscale. Maintenant vu que vous en parler, dites moi en quoi la suppression du SMIC serait une mauvaise chose et vous qu’elle serait vos réforme pour ce pays?

      • C
        @ Nathalie
        Pourriez vous commenter le Margaret Thatcher’s Wages Act 1986?
        @Raphaël
        Les sciences cognitives concernent les recherches sur le cerveau; votre instit de maternelle, et tous les autres ensuite, ont fait de la méta cognition avec vous quand ils vous ont appris à apprendre… stop, les 30 secondes sont passées et c’est hors sujet, sujet fort intéressant au demeurant.
        Mais vous n’avez pas répondu à ma question: pour quelle famille choisissant quel type d’école voulez vous donner un chèque éducation?
        Je ne suis pas compétente pour l’économie de notre pays mais l’expérience britannique ne me parait pas modèle en la matière; l’intitulé de ce blog est « libéralisme catholique », deux mots qui peuvent laisser penser que le respect de la personne, de ses biens et de son travail sont le souci de ses lecteurs, mais pas tous.

      • C
        @Florence
        Merci de m’avoir éclairé sur les sciences cognitives (ce n’est pas ironique), pour vous répondre, je pense que les chèques d’éducation doivent en priorité être donner au famille pauvres et aussi aux autres familles pour ainsi avoir la liberté de choisir son école t cela serait valable pour les écoles publiques et privés, les parents recevraient une somme égale au coût estimé de l’instruction d’un enfant dans une école publique, rendant ainsi gratuit les écoles privées, ce qui provoquera une concurrence et donc une stimulation de l’amélioration des écoles et donc de meilleur résultat. De plus pour les parents, il n’y aura alors plus de distinction sociales car riche comme pauvre pourront mettre leurs enfants dans les écoles qu’ils souhaitent, de plus cette liberté de choix poussent aussi les parents à mieux s’occuper de leurs enfants.
        Pour ce qui est de l’économie libérale, si Tatcher vous offense tant regarder ce que fait la République Tchèque, pays dont on devrait s’inspirer.

      • C
        @ Raphael : J’ai déjà corrigé Florence en Françoise dans votre précédent commentaire. Je vous rappelle que c’est à Françoise que vous parlez, pas à Florence. Un peu d’attention ne peut pas faire de mal.
        [C’est ce que je n’hésite pas à dire à mes 4 enfants dont les âges vont de 29 ans à 18 ans]

        @ Tous :
        Biais cognitifs : « L’homme est un roseau pensant agité de biais cognitifs »
        https://leblogdenathaliemp.com/2015/04/16/lhomme-est-un-roseau-pensant-agite-de-biais-cognitifs/

        Salaire minimum : « Hausse du salaire minimum : mauvaise idée… #Seattle »
        https://leblogdenathaliemp.com/2017/06/29/hausse-du-salaire-minimum-mauvaise-idee-seattle/

      • C

        @ Françoise

        « L’intitulé de ce blog est ‘libéralisme catholique’, deux mots qui peuvent laisser penser que le respect de la personne, de ses biens et de son travail sont le souci de ses lecteurs, mais pas tous. »

        Non non non non. Ici, nous sommes tous des salopards ultra-libéraux qui voulons écraser les personnes, voler leurs biens et exploiter leur travail.

        Exactement comme Margaret Thatcher, dont vous devriez baiser les pieds au lieu de la salir. Margaret Thatcher, qui était libérale et fervente chrétienne, mais ça semble vous échapper.

        Votre branche du christianisme à vous, elle semble davantage axée sur la bigoterie, les leçons de morale tous azimuts, le gauchisme dissimulé sous la défroque de la foi et la défense corporatiste des privilèges immérités des fonctionnaires.

        Vous adoptez ce procédé passif-agressif favori des gauchistes, concernant à demander des comptes à autrui. Vous exigez de Nathalie qu’elle « commente le Margaret Thatcher’s Wages Act 1986 ». Votre impudence est sans limites.

        Le gauchiste a raison par définition, il n’a jamais à se justifier. En revanche, lorque son dogme est mis en cause si peu que ce soit, alors, du haut de sa chaire, il joue les profs et fait passer un examen aux autres (c’est encore mieux s’il en est un, montrant ainsi que ceux de sa race ne sont jamais sortis de leur salle de classe).

        Bien entendu, il ne faut jamais répondre à ce genre de provocations. Quelle que soit la justesse de votre réponse, le gauchiste ne sera jamais satisfait. Il rejettera votre justification d’un air méprisant (mais sans le moindre argument), posera une autre question, puis une autre, puis une autre, changeant sans cesse le sujet.

        J’ai vu ça mille fois, je connais le film par coeur.

        Donc, concernant « le Margaret Thatcher’s Wages Act 1986 », pourquoi ne le commenteriez-vous pas vous-même, pour commencer, grosse maligne ? Puisque vous êtes si savante et que vous avez tellement raison ?

        Travaillez un peu, pour une fois. Partagez votre savoir. Montrez que vous êtes vraiment celle que vous prétendez être. Expliquez-nous ce qu’il y a dans ce fameux « Margaret Thatcher’s Wages Act 1986 », et pourquoi il révèle l’incommensurable sauvagerie du thatchérisme, puisque c’est, à l’évidence, ce que vous vouliez suggérer — mais vous n’avez même pas le courage de le dire.

      • C
        @Nathalie,
        Françoise, Florence ou tartempion, ça m’est égal, ce n’est qu’un pseudo.
        Pourriez-vous supprimer les mots offensants du sieur marchenoir? Vous m’obligeriez.
        Je ne vois pas de réponse sur le Wages Act de 1986, seulement un lien sur un article précédent traitant de la hausse du SMIC, ce qui est hors sujet car la question est de savoir si le SMIC doit être supprimé. Si vous le cherchez il est dans le Employment Rights Act 1996.
        @Raphaël
        Relisez bien ce que je vous ai dit:
        école publique: locaux et fonctionnement payés par les collectivités locales + profs payés par l’Etat = zéro euro pour les familles.
        écoles sous contrat d’association: locaux appartenant aux diocèses ou aux congrégations (j’aurais dû le préciser dans mon premier post) + fonctionnement payé par les collectivités locales (dans le primaire à parité avec le coût d’un élève dans le public dans la même commune, à hauteur de 10% dans le secondaire) + profs payés par l’Etat = part de la scolarité payée par les familles ( surtout pour le secondaire, salaire du personnel non enseignant et matériel de fonctionnement à hauteur de 90% du budget )
        écoles hors contrat: locaux + fonctionnement + profs = payés par les familles
        écoles libres type free schools: locaux + fonctionnement + profs payés par l’Etat = zéro euro pour les familles.

        « je pense que les chèques d’éducation doivent en priorité être donner au famille pauvres »
        pourquoi l’Etat donnerait plus aux familles pauvres (ne faites pas confiance à votre iphone) puisqu’elles peuvent déjà aller dans le public sans rien débourser, puisqu’elles pourraient aller dans vos écoles privées free schools sans rien débourser, puisque le sous contrat reçoit déjà le forfait communal équivalent aux élèves du public dans le primaire au moins?
        Votre proposition « les parents recevraient une somme égale au coût estimé de l’instruction d’un enfant dans une école publique » existe donc déjà dans les écoles sous contrat.
        Votre chèque permettrait aux familles effectivement d’aller dans le hors contrat mais ce n’est pas ce que vous recherchez, ou, si les familles choisissent le sous contrat, d’engraisser l’Eglise puisque l’Etat paie déjà la scolarité et seuls les locaux sont hors du financement public, ce qui me parait entrer dans vos craintes de « dérives à la laïcité » de votre premier commentaire.

        Non, continuez votre raisonnement, je ne vois toujours pas à quoi sert votre chèque cadeau

      • C
        @Françoise

        Effectivement, comme vous le soulignez, la pluspart du temps la scolarité est gratuite pour les écoles, mais (j’aurai peut-être dû le préciser) je parlais avant tout des écoles privés payantes que ce soit au niveau du secondaire ou autre, où la scolarité est payante et où les gens pauvres ne peuvent pas inscrire leurs enfants car trop pauvres et les chèques pourraient aussi servir pour les familles ayant des difficultés à donner à leurs enfants des aides scolaire de bonne qualités.
        Mais, vous, vous n’avez toujours pas repondu à ma question à propos du SMIC et vos propositions de changement.

      • C
        « seulement un lien sur un article précédent traitant de la hausse du SMIC, ce qui est hors sujet car la question est de savoir si le SMIC doit être supprimé » :
        Un lien qui est au contraire en plein dans le sujet. Si le salaire minimum légal est inférieur ou égal au salaire mininum du marché, le salaire minimum légal ne sert à rien (cas de Seattle lors de la première hausse : les salaires étaient déjà tous ou presque à 11 $)
        Si le salaire minimum légal est supérieur au salaire minimum qu’offrirait le marché si ce mimimum légal n’existait pas, il y a éviction des salariés les plus fragiles du marché du travail.
        En ce qui me concerne, le salaire minimum peut être supprimé intégralement.

        « Je ne vois pas de réponse sur le Wages Act de 1986 (…) Si vous le cherchez il est dans le Employment Rights Act 1996. »
        Les mises en demeure et la condescendance me motivent fort peu.
        Si vous avez quelque chose à dire sur le Wages Act de 1986, dites-le, et s’il y a lieu je vous répondrai. mais ne vous imaginez pas que je vais passer mon week-end à faire un commentaire d’un texte complexe qui comprend 245 sections : http://www.legislation.gov.uk/ukpga/1996/18/contents

    • C
      « Les mises en demeure et la condescendance me motivent fort peu » : ça c’est un peu fort de café, ce n’est pas vous qui avez renvoyé à des liens sur Thatcher et sur le SMIC?
      Vous avez tout le temps pour répondre mais je comprends tout à fait que cela vous dérange aux entournures!
      Admettons que vous demandiez la suppression du SMIC: qui fixe la valeur du travail?
      – le montant juste au dessus du RSA? ha ben non, lui aussi part aux oubliettes.
      – le sacro saint marché de l’emploi? ben oui me direz vous.
      – mais alors, les « plombiers polonais » rafleraient tous les postes? ha ben non, les étrangers n’auront pas le droit de venir « chez nous »
      Et voilà, je comprends mieux maintenant où vous voulez en venir sur ce blog « libéral catholique »…
      signé: pseudo Françoise, ni catho, ni gaucho, juste Macro!

      ps: Raphaël, trop confus, revoyez votre copie, on ne sait plus ce qu’est qu’une école libre ou privée payante en vous lisant.

      • C
        Vous dites vraiment n’importe quoi. Du procès d’intention en enfilade. De l’amalgame en enfilade.
        Vous ignorez manifestement tout du libéralisme et tout du fonctionnement d’un marché non faussé. (J’insiste : non faussé) Mais ça ne vous empêche pas d’insinuer et de nous asséner votre supériorité morale (« je comprends mieux maintenant où vous voulez en venir sur ce blog « libéral catholique »… »)

        En France, tout est faussé : capitalisme de connivence entre les gouvernants et certains patrons bien en cour, règlementations compulsives sur tout et n’importe quoi, subventions aux entreprises, aux assos, aux acteurs de notre exception culturelle etc., barrières en tout genre, prix fixés, numérus clausus, professions protégées, etc. C’est à un tel niveau que plus personne n’imagine faire autrement et que tout le monde réclame la protection de l’Etat dès qu’il se passe la moindre chose. L’Etat s’en frotte les mains, son pouvoir est immense.

        Enlevons tout cela, réduisons l’Etat providence à la solution du dernier recours plutôt qu’à la règle générale obligatoire, et redonnons à chacun son salaire complet et la possibilité de choisir ses assurances sociales et l’école de ses enfants, et on aura déjà fait un grand pas en matière de liberté et de prospérité (plus d’argent laissé entre les mains de ceux qui ont les bonnes idées pour investir et produire aura un effet positif sur l’emploi et le pouvoir d’achat.)

        Lisez mon article sur les Pays-Bas, lisez mon dernier article, lisez « Les 3 graphiques de la France qui tombe » et expliquez-nous comment ça se fait qu’avec les dépenses publiques et les prélèvements obligatoires les plus élevés du monde développé couplés à la redistribution la plus forte, on soit aussi le pays qui a 2 ou 3 fois plus de chômage que les autres, des performances scolaires médiocres, des déserts médicaux et des pénuries pour certains médicaments, etc.. Le RSA n’est pas une belle et généreuse attitude, juste le symptôme qu’on a beaucoup de pauvres. Faut-il s’en féliciter ?
        Et ne venez pas dire que c’est par ultra-libéralisme débridé. Quand un Etat arrive à dépenser 57 % du PIB réalisé dans le pays, on peut dire avec certitude qu’il est résolument (et malheureusement) sur la voie du collectivisme.

        « les étrangers n’auront pas le droit de venir « chez nous » » : absolument pas. Les libéraux sont pour la libre circulation des biens et des personnes. En revanche, l’Etat providence tel qu’il est chez nous constitue une distorsion de marché, un appel d’air, qui tend à attirer plus de monde que le pays ne peut réellement accueillir. Sur ce sujet : « Migrants : et si l’on remplaçait les quotas par la vérité des flux ? »

        Les libéraux sont pour laisser les hommes agir, avec une seule condition très importante : qu’ils respectent l’Etat de droit et ne portent pas atteinte aux biens et aux personnes.

      • C
        « non faussé »: désolée mais votre pays de bisounours n’existe nulle part, à moins de partir loin, très loin de la France avec Raphaël sur une île déserte, et encore, méfiez vous car vous risqueriez de voir débarquer sur la plage de sable fin Bob le Migrant (remarquez vous pourrez toujours l’embaucher pour les basses oeuvres jusqu’à ce qu’un électron libre ne vienne s’échouer à son tour!)
        ciao la compagnie et amusez vous bien dans un entre soi tout cozy, so british 😉

    • La partie de ping-pong est assez symptomatique d’une recherche de solutions quand on ne partage pas au départ un constat ou un état des lieux.
      Or en matière d’éducation plus facilement peut-être que dans d’autres domaines, le constat est terrible.
      Nous sommes parmi les pays qui dépense beaucoup :
      https://data.oecd.org/fr/eduresource/depenses-d-education.htm#indicator-chart
      http://www.lepoint.fr/societe/en-2015-la-france-consacrait-pres-de-7-de-son-pib-a-l-education-28-11-2016-2086289_23.php
      Pour des résultats très mauvais si ce n’est parmi les plus mauvais de l’OCDE pas seulement en ce qui concerne les résultats PISA mais pire au point de vue de son adéquation au marché du travail :
      http://www.atlantico.fr/decryptage/cercle-vicieux-economique-qui-etrangle-potentiel-croissance-france-philippe-crevel-3337950.html/page/0/4
      C’est particulièrement accablant !
      Alors ensuite les solutions comme le chèque éducation ou d’autres dispositifs (concurrence public-privé suédois par exemple) mis en oeuvre par ceux qui ont de meilleurs résultats que nous, peuvent être discutés et envisagés.

      De plus, ce n’est même plus la peine d’aborder d’autres domaines autrement plus complexe comme la santé plusieurs fois aussi traités de façon assez démonstrative sur ce blog.
      Impossible d’envisager des tentatives d’améliorations sans le justifier du partage d’un constat précis de dysfonctionnements !
      .

  25. D: Primauté des articles de la DDHC sur toute loi ou article de la Constitution.
    Conséquences directes :
    Art. 3 : L’instauration d’un système de démocratie directe à tous les échelons de la vie politique française, comme le demandent aussi les GJ avec le RIC CARL (Constituant, Abrogatoire, Révocatoire, Législatif).
    Art. 4 et 5 : Révocation de l’ensemble des lois liberticides votées ces dernières années (par exemple, les lois « mémorielles » ou les articles qui entravent les libertés dans la loi « renseignement »).
    Art. 6 : Intégration du code administratif dans le code civil, ou annulation pure et simple du code administratif (« la Loi doit être la même pour tous »).
    Art. 8 : Interdiction de toute application rétroactive d’une loi, décret ou toute autre décision des pouvoirs publics.
    Art. 12 : La force publique doit être au service des citoyens (à lire : pas au service du pouvoir politique).
    Art. 13 : L’Etat doit gérer les fonctions régaliennes, toute autre activité doit être approuvée explicitement et ponctuellement par les citoyens. L’imposition doit suivre les principes énoncés.
    Art. 14 : Le budget de l’Etat doit être soumis à l’approbation des citoyens. Les dépenses doivent être accessibles et claires. Interdiction d’un budget en déficit dans la Constitution.
    Art. 15 : Le statut de fonctionnaire à vie doit disparaître et la responsabilité individuelle des fonctionnaires doit être applicable (notamment la justice).
    Art. 16 : Instauration d’une réelle séparation des pouvoirs, avec responsabilités et mécanismes d’élection ou de nomination bien précisés pour chacun des pouvoirs.
    Art. 17 : Abrogation de toutes les lois qui garantissent des « droits à » (ex. : logement) qui empiètent sur la propriété d’autrui.

  26. D
    Priorite : diminuer les depenses. Supprimer les comites Theodule redondants, sinecures des amus politiques a recaser, supprimer le CESE dont tour le monde s’accorde sur son inutilite et que Macron dans sa lettre met scandaleusrment sur le meme plan que le Senat. Retablir la taxe d habitation pour tous, dont personne ne demandait la suppression mais reviser les valeurs locatives

  27. C : 100 ans de dérives antilibérales/interventionnistes… ne peuvent pas être supprimées d’un coup de baguette magique, il faudra des dizaines d’années pour changer les choses. Supprimer l’état providence est un voeux pieux mais irréalisabe à court terme et politiquement intenable.
    Il faut d’abord changer les esprits avant de ne serait ce que songer à supprimer le SMIC et toucher au sacro-saint modèle social.

    D : Abrogation du principe de précaution
    D : Séparation de l’état de l’Economie par un désengagement de la participation de l’état dans les entreprises. Laisser les entreprises faire faillite. La France est un pays comme les autres, il n’y a pas d’entreprises stratégiques.
    D : Réduire le périmètre de l’état : « En faire moins, mais le faire mieux » en commençant par la Culture.
    D : Renforcer la propriété privée des biens physiques.
    D : Autoriser par défaut toute pratique qui ne nuit pas « objectivement à autrui » et librement consentie.(un manque à gagner n’est pas un préjudice objectif)

  28. D
    Abrogation de la loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte d’août 2015 (LTÉCV), à remplacer par des investissements équivalents dans la recherche et le développement pour la production d’électricité NON INTERMITTENTE.
    En corollaire, suppression des subventions et contrats de connivence avec les producteurs de ces énergies intermittentes.

  29. C
    J’avais noté ceci en réponse à une de mes remarques
    « pourquoi les productifs n’essaient pas de se débarrasser des improductifs » et si on leur proposait une augmentation de salaire et une prime pour chaque nuisible planqué ou non ?

    le veilleur18 jan. 15h08
    il est impossible pour les productifs de la fonction publique de faire virer les improductifs pour au moins deux raisons.
    1) les improductifs ont voté pour la CGT ou équivalent quand ils ne sont pas eux-mêmes des représentants syndicaux.
    2) les organisations syndicales sont les seules qui débattent / cogèrent les services publiques avec les équipes de direction de ces structures ( quand certains membres de ces équipes ne sont pas eux-mêmes d’anciens CGTISTES ou équivalents).
    Vous comprenez mieux maintenant !
    3) essayer, c’est risquer de se faire taper dessus au sens propre comme au figuré, quand ce n’est pas plus ( vécu ! mais indémontrable pénalement, sont pas complétement débiles ces CGTISTES, c’est pour cela qu’ils sont dangereux).

    en résumé si toi pas d’acor toi pas promo et chien de gard (inpector d’akademi) pour ke tu vir.

  30. Doléance fiscale du jour : il serait souhaitable que nos hommes politiques, qui, dans leur quasi-unanimité, considèrent qu’un impôt sur le revenu doit nécessairement être fortement progressif, méditent les enseignements de ce tout récent sondage :
    http://harris-interactive.fr/opinion_polls/les-francais-et-limpot-sur-le-revenu/
    http://harris-interactive.fr/wp-content/uploads/sites/6/2019/01/Rapport-Harris-Les-Franc%CC%A7ais-et-limpo%CC%82t-sur-le-revenu-Institut-Fiscal-Vauban.pdf

    On y apprend que lorsque l’on pose aux gens une question très concrète dans une formulation débarrassée de tout concept chargé d’une connotation idéologique, ils sont à plus de 80 % en faveur d’un impôt sur le revenu proportionnel (flat tax), voire dégressif.

    Voila la question posée par l’Institut Harris :

    « L’exemple donné en référence était celui d’un citoyen, célibataire sans enfant, aux revenus nets imposables de 2 000€ par mois, qui doit aujourd’hui acquitter annuellement environ 1 600€ d’impôts sur le revenu. Avec cette référence à l’esprit, les Français étaient invités à statuer sur le montant annuel que devrait idéalement payer un autre contribuable, également célibataire et sans enfant, mais disposant de revenus 3 fois supérieurs, soit 6 000€ par mois. Parmi différentes modalités proposées, une majorité de Français (53%) privilégient l’idée que ce contribuable aux revenus 3 fois supérieurs paie un impôt sur le revenu dont le montant serait, lui aussi, 3 fois supérieur : soit 4 800€ d’impôts annuels. 31% des répondants estiment même que le montant à payer devrait être seulement 2 fois supérieur, soit 3 200€ annuels. Seuls 11% citent la réponse correspondant au barème actuel de l’impôt sur le revenu en France, dans ce cas précis : pour des revenus 3 fois supérieurs, un contribuable paiera un montant absolu d’impôt sur le revenu 8 fois supérieur (soit environ 13 000€). Seule une frange marginale des répondants souhaiteraient que ce contribuable aux revenus triples règle un impôt 16 fois supérieur (environ 26 000€).

    Lorsque la comparaison s’effectue avec un autre contribuable, disposant de revenus 10 fois supérieurs aux 2 000€ nets mensuels de référence (soit 20 000€ nets mensuels, un niveau concernant moins de 1% des salariés français), les tendances sont quasi-identiques : 57% citent un montant correspondant à un impôt linéaire (10 fois plus élevé). 25% souhaitent qu’il règle un impôt en proportion inférieur (seulement 5 fois plus). Quand 12% citent l’option actuelle (50 fois plus), et 2% un multiple supérieur (100 fois plus). Dans ce modèle, les Français se positionnent sur un mode de calcul de l’impôt sur le revenu qui serait linéaire, voire régressif, plutôt que progressif.

    Au final, comment interpréter cette enquête ? Tout d’abord, elle s’inscrit dans un contexte bien connu : la connaissance imparfaite des citoyens sur les dispositions fiscales actuelles. Ensuite, elle rappelle l’importance du référentiel statistique : le débat sur la fiscalité se fait aujourd’hui essentiellement autour des questions de taux ; le simple fait de raisonner en montants absolus génère des réponses qui peuvent paraître surprenantes, et ce dans toutes les catégories de population : les résultats à cette enquête s’avèrent en effet homogènes, quelle que soit – notamment – la proximité politique des répondants. Selon que les Français se positionnent sur des principes ou sur des montants, leur jugement à l’égard de l’impôt varie donc nettement ».

    Amusant, non ?

  31. D Retrouvons le contrôle de notre argent et des dépenses publiques.

    Réclamons notre salaire complet

    Le salaire complet est une proposition du Mouvement pour la Liberté et la Démocratie Directe (ML2D) qui permet de
    * Regagner en pouvoir d’achat sans déficit, dette ou impôt supplémentaires
    * Respecter les traités internationaux que notre pays a signés

    Le salaire complet, c’est ce que vous valez vraiment. Pour acheter votre
    travail votre employeur paie votre salaire, des charges sociales dites patronales et salariales.

    Ces charges paient vos assurances maladie, accident du travail, veuvage, chômage et
    vieillesse (retraite). Vous n’avez aucun contrôle sur ces sommes qui sont versées à des
    organismes étatiques en situation de monopole.

    Lorsque vous recevez un salaire ou une prime nette de 1 000 €, votre entreprise
    débourse en moyenne 820 € de charges patronales et salariales (1) (2).

    Le montant des charges salariales représente 28% du salaire net. Le montant des charges sociales patronales représente 54% du salaire net. Le montant total des charges représentent 82% du salaire net.
    Pour 1 000 € de salaire net, votre salaire complet est de 1 820 €.
    Pour 2 000 € de salaire net, votre salaire complet est de 4 430 €
    (du fait de certains effets progressifs ou de seuil )

    La proposition du ML2D :
    vous touchez votre salaire complet puis vous acquittez vos assurances sociales en vous affiliant à l’assureur de votre choix. Ce pourrait être l’Assurance maladie et l’Assurance vieillesse (organismes publics) mais aussi un des nombreux assureurs de l’Union européenne.

    C’est ce que font les autres citoyens européens, c’est ce que font les Suisses. La France est championne du monde de la fiscalité et des charges sociales. Les mêmes assurances coutent moins cher dans les autres systèmes parce qu’ils sont ouverts à la concurrence.

    Le monopole est toujours nuisible à la performance, au prix et à la qualité.

    « La concurrence, c’est la liberté. Détruire la liberté d’agir, c’est détruire la possibilité et par suite la faculté de choisir, de juger, de comparer ; c’est tuer l’intelligence, c’est tuer la pensée, c’est tuer l’homme. »
    Frédéric Bastiat

    En Suisse, en Allemagne, en Belgique, au Luxembourg, les bulletins de paye comportent
    entre trois et cinq lignes. Les rues ne sont pas jonchées d’agonisants exclus des hôpitaux et de mendiants au chômage sans indemnités.
    Le pouvoir d’achat des habitants de ces pays est supérieur au nôtre.

    Retrouvez les autres propositions du ML2D ici ml2d.fr/

  32. D Finissons-en avec la carte scolaire et retrouvons un enseignement de qualité
    Réclamons notre salaire complet

    Le bon d’éducation est une proposition du Mouvement pour la Liberté et la Démocratie Directe (ML2D) qui permettra de relever la qualité de l’enseignement en France.

    Celle-ci ne cesse de se dégrader selon le classement international PISA établi par l’OCDE. Nous figurons actuellement à la 27ème place de ce classement.

    Plus grave, peut-être, les écarts entre les élèves dont le statut économique, social et culturel des parents est élevé (le quart le plus favorisé) et ceux dont il est faible (le quart le moins favorisé) est gigantesque

    Ce n’est pas une question de moyens.
    Nous avons proportionnellement au nombre d’élèves plus d’enseignants, de personnel administratif et d’encadrement que l’Allemagne ou le Royaume-Uni.

    Nous consacrons 5,3% de notre PIB aux établissements d’enseignement, plus que la moyenne des pays de l’Union européenne qui est de 4,9%.

    Adoptons une approche pragmatique et non pas dogmatique. Assez des solutions du style «faisons plus de tout ce qui n’a pas marché jusque là».
    Pendant que nous chutions, d’autres pays progressaient. La Suède, les Pays Bas et la Nouvelle Zélande ont spectaculairement amélioré leurs résultats en appliquant cette méthode simple et qui ne coûte rien de plus.

    La valeur du bon d’éducation correspond à la somme actuellement utilisée pour l’année scolaire d’un enfant, soit 6 190 € pour un élève du primaire par exemple.
    Dans ce système, il n’y a plus de carte scolaire et la création d’écoles nouvelles est libre. Les parents peuvent inscrire leur enfant dans l’école de leur choix et cette école perçoit alors le bon d’éducation.
    Le budget de l’école s’adapte ainsi au nombre d’élèves inscrits.
    Ce système permet de créer une émulation entre les établissements. Ceux qui rendent les meilleurs services aux élèves et à leurs parents peuvent se développer. L’émulation, la mise en concurrence sont bonnes dans tous les domaines, y compris l’enseignement. C’est par ce biais que la qualité s’améliore, que la créativité s’exprime.

    Rejoignez le Mouvement pour la Liberté et la Démocratie Directe (ML2D) ml2d.fr

  33. D
    Bonjour, je suis trés surpris de voir que l’augmentation du prix du gazole ait pu déclencher cette révolte sans être accompagnée d’une démonstration de l’inanité de ce fumeux changement climatique . Les publications les plus récentes , les plus scientifiquement pertinentes ,affirment l’absence de responsabilité du CO2 dans l’effet de serre , infirment les affirmations de réchauffement aux pôles ( tout particulièrement pour l’antarctique)Bref E . Macron devrait être critiqué sur sa position climato catastrophiste celà donnerait du poids au discours politique le combattant , démontrant son ignorance / ou son instrumentalisation du problème ,à des fins purement confiscatoires de l’argent des Français ,dont les plus modestes ( G J ) .

  34. D
    bonjour,
    – interdiction des subventions publiques à la presse
    – interdiction des subventions du secteur public à toute association ou entreprise privée, y compris les partis politiques et les syndicats
    – les fonctionnaires élus à la tête des communes, communautés de communes, départements ou régions, députés, sénateurs ou nommés ministres ou secrétaires d’état, doivent démissionner de la fonction publique.
    – suppression de la BPI, de la CNC, et de tout autre organisme public subventionnant des productions privées
    – suppression de tous les comités théodules, y compris le CESE
    – recentrage du ministère de la culture sur la préservation du patrimoine historique.
    Tout ca fera déjà pas mal d’économies.
    Et je ne parle même pas des règles et lois qui se chevauchent et se contredisent et abordent des points de détail qu’il faudrait laisser à une justice non soumise à l’etat.
    Pour la structure de l’état, la fiscalité et les élections, il faudrait tout reprendre à zéro.
    Quant à l’émigration et la justice, il faudrait donner un délai maximum de 2 à 3 mois pour traiter un dossier. Il est honteux que cela puisse prendre un an ou plus, laissant les personnes concernées dans l’incertitude et parfois l’illégalité pendant trop longtemps.

    • C
      « puisse prendre un an ou plus, laissant les personnes concernées dans l’incertitude et parfois l’illégalité pendant trop longtemps » aux frais de la princesse avec moult fonctionnaires occupés à les compter et les recompter entre autre à dixième de temps, ce qui coûte bien plus cher que les tentes et brouets de janissaires qui leurs sont servis.

  35. D

    Quelques recommandations sur les quatre thèmes du grand débat national

    La fiscalité et les dépenses publiques,
    1. Réalignement de la fiscalité aux termes des Articles 13 et 14 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 comme suggéré dans le préambule de la constitution de 1958.
     Article 13 : Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés (tous les citoyens doivent contribuer à l’impôt si menu soit-il pour les faibles revenues).
     Article 14 : Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.

    2. Décentralisation légale et balancée du pouvoir de collecte de l’impôt entre diffèrent niveaux d’administrations territoriales consolidées et limitées à trois (état, région, communes).
    3. Introduction d’une concurrence fiscale entre entités d’un même niveau (modèle suisse).
    4. Anti-constitutionalité de tout déficit public au-delà d’une mandature courante pour l’état, la sécurité sociale et les administrations territoriales.
    5. Obligation des élus de balancer les comptes publics entre le début et la fin de toute mandature sous peine d’inéligibilité permanente à toute élection publique future.
    6. Complète et détaillée transparence accessible à tous, de toute dépense (personnel, investissement, fonctionnement) financée par de l’argent public (impôt, CSG, etc.)
    7. Interdiction de toute subvention publique directe ou indirecte aux syndicats ou à tout autre corps de métiers (presse, etc.) qui doivent s’appuyer exclusivement sur les contributions de leurs membres ou la vente de leurs produits ou services.

    L’organisation de l’État et des services publics,
    1. Consolidation des entités et administrations territoriales à trois niveaux seulement (état, région, commune).
    2. Limitation du périmètre de l’état essentiellement aux fonctions régaliennes primaires (diplomatie, défense du territoire, sécurité intérieure, justice)
    3. Redéfinition de tout service public autorisant la possibilité d’un exercice d’activité de service public non régalien (santé, éducation, transport, emploi, chômage, etc.) par des personnes privées sous un régime de droit privé contrôlé par une autorité publique compétente et indépendante.
    4. Evaluation systématique ex-ante exprimée quantitativement et monétisée, accessible à tous avant décision, des impacts économiques, sociaux et environnementaux de tout projet de loi ou de décret.
    5. Meilleure indépendance juridique du conseil constitutionnel souvent trop incliné a la cause du gouvernement.
    6. Obligation du gouvernement de mettre œuvre toutes les recommandations de la cour des comptes

    La transition écologique
    1. Transparence intégrale de l’empreinte écologique de toute entité légale sur la base de critères aussi simple que possible, prédéfinis et objectifs mais ajustable dans le temps par une autorité publique compétente et indépendante.
    2. Estimation indépendante ex-ante et publication systématique des couts et bénéfices économiques et sociaux de toute loi ou décret affectant l’environnement.

    La démocratie et la citoyenneté.
    1. Transparence publique intégrale accessible à tous du payement de l’impôt par les individus et les sociétés.
    2. Transparence publique intégrale accessible à tous, de toute action/ prestation de lobbysme (contribution de texte de loi, argent reçu ou donné, personnel assistant, etc.) dans le domaine publique.
    3. Elimination du risque de conflit d’intérêt de la réélection (limite d’un seul mandat pour une même position)
    4. Elimination du conflit d’intérêt des élus à définir eux-mêmes leurs émoluments et privilèges (remplacé par un algorithme en positif ou en négatif liées à l’avancement ou au recul du statut socio-économique de l’entité territoriale gérée (pays, région, commune) sur la base de critères prédéfinis et objectifs décidés de temps à autre par une autorité publique compétente et indépendante.
    5. Abolition du statut de fonctionnaire a vie et assimilation à tout autre statut de droit privé.
    6. Abolition de tous les privilèges consentis aux grand corps de l’état et aux grandes écoles nationales.
    7. Promotion de la démocratie directe a tout niveau en particulier vis-à-vis de toute décision fiscale, de toute action publique, de toute action écologique ou de tout investissement public engageant de l’argent public (système suisse).
    8. Etablissement d’un referendum d’initiative citoyenne (consultatif et/ou ordonnateur selon le nombre de participants) constituant, législatif, et même abrogatif & révocatoire si supporté par un nombre suffisant de participants à définir.
    9. Limite de validité obligatoire de toute loi et obligation d’une réévaluation socio-économique publique comme base de renouvellement.
    10. Inéligibilité à tout mandat d’élu pour vingt ans pour toute personne ayant subi une condamnation pour tout délit à la portée d’une position d’élu.
    11. Interdiction du droit de grève pour toute revendication syndicale de nature politique sans lien immédiat et direct avec une négociation programmée entre partenaires sociaux.
    12. Mise en place d’une phase de médiation obligatoire avant usage du droit de grève (système allemand).
    13. Interdiction aux syndicats du service public d’impacter les bénéficiaires de ces services en cas de grève. (seul l’employeur peut être impacté, perte de revenue ou similaire).
    14. Obligation d’un syndicat ou organisateur d’une grève ou d’une démonstration publique de compenser financièrement tout tierce partie ayant subi des dommages causés par ou liés à l’initiative revendicatrice.

  36. D
    – Suppression de toutes les niches fiscales
    – Suppression du barème de l’IRPP remplacé par une flat-tax sur tous les revenus
    – Suppression de l’IFI
    – Augmentation substantielle des abattements sur les droits de succession (Cf 11 M$ d’abattement aux USA)
    – Suppression de toutes les taxes sauf la TVA
    – Instauration d’un régime de retraite unique pour tous

    – Suppression de toutes les subventions (aux syndicats, à la presse, à toutes les associations aux théâtres, au cinéma, etc…)
    – Privatisation de toutes les entreprises publiques
    – Privatisation des Universités
    – Suppression de la Sécurité Sociale et toutes les aides sociales, à remplacer par des assurances privées obligatoires

    – Cantonner les prérogatives de l’état au régalien
    – Réduction drastique du nombre de lois
    – Réduction du millefeuille territorial
    – Réduction des Normes de toutes sortes
    – Ne pas faire de surenchère sur les directives et normes imposées par l’Europe
    – Réduire le nombre de représentants du peuple dans les différentes assemblées
    – Suppression de tous les comités Théodule

    – Afin de réduire les émissions de CO² relancer la filière nucléaire et construire de nouvelles centrales dont le fonctionnement n’est pas intermittent à l’opposé des énergies soi-disant écologiques.
    – Arrêt de la construction d’éoliennes et de centrales solaires qui défigurent nos paysages
    – Abrogation de la limitation de vitesse à 80 km/h sur les routes

    – Arrêt de l’immigration sauvage et du regroupement familial
    – Renvoi dans leur pays d’origine des populations qui refusent de s’intégrer

    – Autoriser l’euthanasie en fin de vie.

  37. D
    FISCALITE
    – Remplacement de l’IRPP par une flat-tax sur tous les revenus
    – Suppression de l’IFI sans remise en vigueur de l’ISF
    – Augmentation substantielle des abattements sur les droits de succession (11 M$ d’abattement en ligne directe aux USA)
    – Suppression de toutes les taxes sauf la TVA
    – Suppression de tous les privilèges réservés aux chefs de l’Etat retraités.
    – Suppression des voitures de fonctions
    – Suppression des gardes du corps payés par l’Etat
    – Suppression de tous les logements de fonctions
    – Suppression des frais de réceptions hors affaires étrangères (limitées)
    – Suppression des régimes de retraites fonctions publiques, élus, intermittents…
    – Suppression de tous avantages hors salaires pour les élus
    – Suppression de tous avantages liés à une décoration civile
    – Suppression de l’utilisation des forces de l’ordre pour ouvrir la route (sauf cas vital)
    – Suppression de toutes aides de l’Etat pour les particuliers & entreprises (chômage & retraites sont considérés à juste titre comme des assurances ayant fait l’objet de cotisations)

    FONCTIONNAIRES
    – Suppression du statut de fonctionnaire sauf pour les employés des fonctions régaliennes de l’état : police, justice, armée, diplomatie
    – Alignement du régime des retraites des fonctionnaires sur le privé avec départ en retraite au même âge pour tous
    – Instauration de trois jours de carence pour les fonctionnaires.

    ECONOMIES
    – Suppression de toutes les subventions : aux syndicats, à la presse, aux associations, aux théâtres, au cinéma, à l’événementiel …
    – Privatisation de toutes les entreprises publiques
    – Regroupement des communes pour réaliser des économies d’échelle
    – Réduction du millefeuille territorial
    – Réduction du nombre de Normes et interdiction de surenchère sur les directives et Normes imposées par l’Europe
    – Suppression de la Sécurité Sociale et de toutes les aides sociales. Remplacement par des assurances privées obligatoires mais choisies par les assurés eux-mêmes.
    LES ELUS – LA LEGISLATION
    – Primauté du droit français sur les droits européen et international sur le territoire français.
    – Remettre en vigueur la peine de mort pour les terroristes comme pour les violeurs récidivistes
    – Réduire de 30 % le nombre de lois par le principe d’une loi votée, 2 lois supprimées.
    – Réduire le nombre de représentants du peuple dans les différentes assemblées
    – Rendre impossible le vote d’une loi si 75% des députés ne sont pas présents.
    – Interdire de voter un budget déficitaire
    – Supprimer tous les comités Théodule car ils ne servent qu’à placer les copains
    – Modifier le droit de préemption urbain. Si la Ville, la Direction Départementale de l’Equipement ou les Offices de HLM décident de préempter un bien sous compromis de vente ils doivent acheter aux mêmes conditions (prix, délais de paiement etc…) que l’acquéreur d’origine.

    EDUCATION
    – Fermer l’ENA et les IEP
    – Instaurer des concours à l’entrée de l’enseignement supérieur
    – Donner une totale autonomie administrative et budgétaire aux établissements publics et privés d’enseignement et aux universités
    – Supprimer le statut de fonctionnaire pour les employés de l’éducation nationale, enseignants compris.
    ECOLOGIE
    – Relancer la filière nucléaire et construire de nouvelles centrales dont le fonctionnement n’est pas intermittent à l’opposé des énergies dites « vertes » : éoliennes, hydroliennes ou solaires
    – Arrêter la construction d’éoliennes et de centrales solaires qui défigurent nos paysages
    IMMIGRATION
    – Arrêter l’immigration sauvage et le regroupement familial
    – Renvoyer dans leur pays d’origine les populations qui refusent de s’intégrer

    DIVERS
    Autoriser l’euthanasie en fin de vie selon les directives anticipées rédigées par la personne concernée.

  38. D

    – Relèvement de l’âge du droit de vote à 25 ans, ou à la date d’entrée dans la première activité professionnelle rémunérée si elle intervient plus tôt. (Les personnes qui sont encore à la charge de leurs parents, ou de la société, n’ont pas atteint le niveau d’autonomie et de responsabilité nécessaire pour prétendre au gouvernement de la nation.)

    – Suppression de droit de vote pour les fonctionnaires. (Nul ne peut voter sa propre rémunération.)

  39. D : 1 interdire le vote d’un budget qui ne soit pas à l’équilibre.
    2 Retour aux fonctions régaliennes de l’état : armée , justice , relations extérieure, réseau routier. Protection de la propriété privé .
    3 Suppression des monopoles , avec la mise en concurrence , éducation, sécurité sociale, transport ferroviaire, vente des actions détenues dans AIR France .
    4 Arrêt immédiat de la politique des énergies renouvelables, consacrer le budget du renouvelable à la recherche nucléaire .
    5 Suspendre le financement et l’aide aux syndicats et aux médias, afin qu’ils retrouvent une véritable indépendance.
    6 Audit par des cabinets indépendants (payés au pourcentage des économies réalisables) de toutes les collectivités locales .
    7 Prévoir un plan de remboursement de la dette de la France, et refondre la fiscalité .

  40. D Je souhaiterais savoir pourquoi et avec quelles autorisations ( Aucun débat au parlement ! ) , Mme Sylvie Goulard a-t-elle autorisé J P MORGAN a « mobiliser » l’or de la Banque de France ( L’or de la France ) soit 2435 tonnes , pour garantir des « swaps or contre devise » (contrats d’échanges or contre devises) et du « leasing d’or » (location d’or) voir les articles de Phillipe Herlin dans Goldbrocker du 10 janvier 2019 et 7 2 2019

    https://www.goldbroker.fr/actualites/fin-sanctuarisation-or-banque-france-encore-fake-news-1480
    https://www.politiquemagazine.fr/section/economie/
    http://www.gata.org/node/18834

  41. D
    1- Arrêt du développement des programme éolien et photovoltaïque hors les besoins ciblés sur un déficit
    local de production ou d’acheminement (e. g. le cirque de Mafate à la Réunion).
    2- Transfert des investissements massifs des énergies renouvelables vers l’augmentation de la production nucléaire (fission et fusion) et la recherche en matière de sécurité des sites, du recyclage et du stockage des déchets.
    C
    Énergie et transition énergétique.
    1- Notre pays s’est engagé dans une démarche de « réorganisation » de son mix énergétique au prétexte d’une adaptation au changement climatique et à une exploitation de sources d’énergie -exclusivement électriques- dites « propres » et « renouvelables », à savoir le vent et le solaire, pour faire court.
    L’élément crucial de cette production est son intermittence avec toutes les conséquences qu’elle entraîne.La pollution et les nuisances générées par ces moyens est plus ou moins passée sous silence. Ce n’est pas ici qu’il y a lieu de les développer.
    Le coût faramineux de ces investissements ne profitera qu’aux investisseurs -largement subventionnés- dans ces deux domaines, au détriment des contribuables qui en assurent un financement de plus en plus élevé.
    2- En même temps (c’est le terme à la mode), aux prétextes d’une pollution radioactive du stockage des déchets et surtout d’un risque catastrophique -non vérifié jusqu’à présent- la production d’électricité d’origine nucléaire est peu à peu délaissée, contrairement aux « objectifs » -d’ailleurs contestables- de réduction des émissions de CO2 supposées responsables de l’effet de serre. En particulier est ordonnée pour des raisons exclusivement politiques la fermeture d’une centrale parfaitement fonctionnelle (Fessenheim).
    De plus, les programmes de recherche et développement sur la fusion nucléaire sont mal soutenus parce que trop couteux (ITER).

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